Doux ami,
Tout travail mérite salaire
Et cadeau reçu récompense.
À offrir on peut se complaire,
On se substitue à la chance.
Celui qui reçoit un présent,
Ému et maintes fois ravi,
Veut souvent rendre, aux cours des ans,
Obligé ou en a l’envie
On dit merci différemment.
Un sonnet est, certainement,
Un cadeau fruit de la tendresse.
J’inscris dans celui-ci ma joie,
Mes voeux de santé et ma foi.
Reçois-le comme une caresse.
20 mars 2006
Commentaires
Merci à la muse de nous faire partager ce cadeau
Bienheureux le destinataire de ce très beau sonnet Suzanne.
Cela doit être une personne de grande qualité.
Liliane