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pensees

LA D D P ET LE FESTIVAL DE POESIE




Pensée 30



Pensées cachots, songes casinos je joue à la roulette russe avec l’idée de la mort.

Impair, Pair et gagne Le noir sort. Rien ne va plus



Tu tiens ta plume tel un couteau Tu n’écris pas tu coupes, déchires, fends, pourfends, balafres des feuilles et des feuilles ; Soliloque grandiose, apothéose de mots ; Seul ton discours reste blanc



Je glisse telle une banquise vaincue et me laisse aller aux confidences



Ils nous veulent dans un agenouillement absolu et définitif



Pensées tire-bouchon dé bouchonnent les « tabous »



Le « Cogito suprême serait-il Dieu ? dieu ?



Certes, j’ai deux formes de consciences ; Générale globale expansionniste et une conscience parcellaire individuelle remise à mon format et dont je suis étroitement dépendant. Conscience soumise à mon introspection et qui fait mal, conscience objet d’étude, pieu de la connaissance qui fait mal, que j’arrache à coups de plume vindicatifs que je veux changer, modeler à ma convenance mais, qui résiste toujours et encore.



Fomente de ma dualité



Tu ne m’écris jamais, ne me parle jamais ; Tu me vampirises Prends, gobes tout ce qu’il y à prendre en moi et, m’énonces en théorie, me présentes en équation, Sous ta plume je suis « ON « « EXEMPLE » « THÉORIE » et même « HYPOTHÈSE » !



Je reste constamment à la lisière de la réalité, fuis dans mes songes et me perds.



Idées ellipses, je ne sais qui je suis je te fuis



Déserteur, franc-tireur acrobate des mots je m’exhibe



Funambule du verbe saltimbanque de la vie



Mon Aimée mon Aînée que m’importe l’écart du temps fut ce t-il un grand écart.



O ma sœur, mon ombre, mon double et si doublement par la plume



Les idées en bataille, le cœur en ribaude, de la poésie plein les yeux, aveuglé de toi



Je voudrais enlever la brume de tes voiles



Et te poser sur un divan… Plaisir O DIEU !



T ENLACER DANS TON EMBRASEMENT

TE CONTEMPLER DANS L’ABANDON ET, TE CACHER, POUR JAMAIS, DANS LES SOUS BOIS DE MA MÉMOIRE



Je tiens le couteau par la mitre



Ta langue bistouri, mots scalpel



JE DESSINE MA SOUFFRANCE A GRANDS COUPS DE PALETTES D’AUTOMNE



Je fis le grand écart avec la grâce d’un girafon qui broute sa première herbe.
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