Revenons donc à la face A du disque de mon histoire, afin de mieux comprendre l’évolution et la progression de ce que certains appellent « pouvoirs ».
Ainsi donc, Une de mes sœurs et son mari étaient très réceptifs…. À moins qu’émetteurs et moi récepteur.
Nous sommes alors au début des années 80 et nous rentrons au pays, après avoir acheté notre maison si accueillante. Ma sœur et son mari, quant à eux, ont loué leur maison dont je parlais précédemment pour prendre la régence d’un hôtel, taverne, restaurant dans le village voisin.
Nous avions déjà rencontré l’ancienne propriétaire quelques années plus tôt. Elle avait eu le malheur de perdre son mari et son fils durant la guerre 40 et je me souviens qu’un jour, alors que ma mère et moi étions dans le magasin voisin, des éclats de voix nous avaient attiré, à l’extérieur.
Un autocar de touristes allemands s’était arrêté sur la place et ces personnes étaient entrées dans la taverne pour se rafraîchir et se restaurer. Difficile de décrire le chagrin meurtrier d’une mère, qui la saisit face à ceux qu’elle tenait pour responsables. Chassés, insultés, ces gens ne pouvaient que « s’enfuir » dans une autre taverne non loin de là.
Ainsi donc, nous étions rentrés au pays et ma sœur et son mari habitait l’hôtel de cette dame alors décédée.
Le resto marchait bien, mais il y avait quelques problèmes sporadiques avec le bâtiment : fenêtres qui refusaient de s’ouvrir et qui tout à coup s’ouvraient sans crier gare, idem avec les portes, des sentiments de présence désagréables etc… Ils avaient supposé qu’il s’agissait de mouvements telluriques ou autres choses du genre…. Mais cette présence, invisible était parfois trop présente que pour l’ignorer.
Une fois par mois, le restaurant accueillait une réunion de médecins qui en profitaient pour participer au plaisir de la table. Un soir, ils se sont décidés à demander à ma sœur si elle n’avait jamais rien constaté d’anormal chez elle. Hésitante au début, surtout face à des médecins, elle se mit à raconter : aucun n’était étonné, cela n’était pas nouveau. Les précédents avaient connus les mêmes histoires, les mêmes effrois.
A cette époque, pas la peine de se téléphoner lorsque ma sœur rencontrait un problème : je le sentais et me rendais chez eux.
Quoique en ordre, ma maison n’était pas encore bien organisée, quant à quelle pièce accueillerait telle ou telle autre activité. Nous avions installé la chambre des parents, dans ce qui est maintenant la salle à manger que vous avez pu voir sur la vidéo d’Actu-tv.
Un soir de très grande fatigue, je décidais d’aller me coucher vers les 22 heures et mon mari décida de faire de même.
Je fais partie de ces personnes qui ressassent longtemps ce qui s’est passé dans le courant de la journée, ce qu’il faudra faire le lendemain etc…. Or, ce soir-là, à la grande surprise de mon époux, je sombrais aussitôt dans ce que l’on appelle un sommeil de plomb et commençais, selon lui, à m’agiter de façon inhabituelle, au point qu’il m’éveilla.
J’étais « au téléphone » mental, avec ma sœur qui me disait d’une voix effrayée : « elle est là Claudine, elle est là ! »
Après avoir raconté ce court épisode à mon époux, je retombais aussitôt dans ce lourd sommeil toujours aussi agité. Il m’éveilla à nouveau avec difficulté.
Je disais à cet esprit féminin de laisser ma sœur tranquille : j’étais mécontente, je voulais qu’elle parte. A son tour, elle manifesta une très méchante humeur…. Envers moi cette fois.
Le « téléphone se mis à se tordre » et cette femme se retrouva tout à coup auprès de moi. Je tentais de la chasser, mais sans succès. Elle ne savait rien me faire et quitta ma chambre voulant s’approcher du lit de mes enfants. Là, je me sentais impuissante. C’est alors que mon parrain et mon oncle, tous deux décédés quelques années plus tôt, s’interposèrent entre eux et elle. J’en frémis encore.
Physiquement secouée plus que jamais depuis le début de mon rêve, mon mari m’éveilla encore, pour tenter de me tirer de ce cauchemar.
Il me connaissait assez que pour savoir qu’il se passait réellement quelque chose d’anormal.
Troublés, le lendemain, nous nous sommes rendus chez ma sœur. A l’heure où je « cauchemardais », un prêtre exorciste se trouvait chez eux, pour chasser cet esprit négatif.
Fiction ou réalité : à vous de décider. Personnellement, à l’heure où je vous écris, j’ai froid, très froid de me souvenir.
Claudine QUERTINMONT D’ANDERLUES.
Commentaires
Bonjour cher(e)s ami(e)s.
Avez-vous déjà senti l'odeur d'un cadavre animal en putréfaction ? C'est pestilentiel et insupportable pour les nez sensibles et les autres.
Hier soir, après avoir débarrassé ma table, je commençais à déballer une partie de ce que j'avais rapporté de chez ma belle-soeur défunte. Il faut savoir, que je nettoie, lave, répare si possible, les choses que je donne ensuite à des familles que je sais dans le besoin ou bien à mes enfants et pour moi-même. Tout : j'insiste, tout allait bien.
Le lave-vaisselle était plein, afin de fonctionner dès mon lever aujourd'hui. Il était, environ 22 heures. Tout à coup, je reniflais avec dégoût une odeur pestilentielle "surgie" à mes côtés. Indécise, je vérifiais mes convecteurs au gaz, mon chauffe-eau : tout allait bien pour eux : on ne sait jamais...... mais où que je me déplace dans la maison, l'odeur me suivait, collée à moi comme si je m'étais aspergée d'un parfum pourri. Je fis le tour du bas de la maison, rien à faire cela me suivait, m'enrobait. Je me mis à prier tout haut et allai dans la salle de bain me frotter le visage et surtout sous le nez, avec de l'eau de toilette "Soir de Paris" dont je possède deux flacons et qui étaient l'eau de toilette préférée de ma grand-mère que j'adorais et qui m'avait toujours protégée.
Je priais sans cesse tout haut pour surmonter l'envie de fuir ma maison ! Fuir ma maison, vous vous rendez compte ! Malgré cette eau de toilette, l'odeur était parvenue à la couvrir ! Je décidais d'aller au lit. Tout en montant les escaliers, je sentais que l'odeur de l'étage était normale et qu'elle se "pourrissait" au fur et à mesure que je grimpais les escaliers.
J'ai prié sans cesse, et avec "force", je renvoyais par la prière cette (ces?) entités négatives au fin fond des ténèbres. Au bout d'un certain temps, elle finit par s'estomper et moi par m'endormir dans la "Paix du Seigneur". Je suis toujours parvenue dans le passé, à retourner le mal contre ceux qui m'en faisait, preuve à l'appui, (je vous raconterai un exemple dans une nouvelle) Pas question qu'il en soit autrement aujourd'hui : les moments de faiblesse se surmontent........ Gare à qui me veut du mal ou à ma famille !
Et aujourd'hui matin, pas d'images à mon réveil, plus d'odeur !
Il y a les reportages différés et les histoires en direct. Là, maintenant, je me demande, je vous demande si vous avez déjà entendu parler de ces phénomènes d'odeurs ?
Je vous souhaite un excellent WE et merci de continuer à m'accompagner dans la prière, pour ceux qui le font.
Amicalement, Claudine.
J'ai hésité à vous communiquer ceci, tant c'est fou.
Il y a environ une heure, alors que je soupais, mon GSM a sonné, Au bout du fil, ma jeune sœur qui s'est blessée avec la broche. Elle me demande : " tu as essayé de m'appeler ?" Je lui réponds : "non, je viens de rentrer et je suis en train de souper, pourquoi ?
Mon Gsm vient de sonner dit-elle, c'est toi qui m'appelait !!!! Tu peux demander à Salvator (son mari) tu viens de m'appeler. Nous discutons et elle termine :"Je te le prouverai" Je lui réponds pas la peine, je te crois, ce que nous vivons depuis des mois est tellement fou, que je suis prête à croire beaucoup,( mais pas n'importe quoi )!.
Je parle la bouche pleine, je l'ai dit je suis en train de manger et mon GSM se trouvait dans son support à environ 3 mètres de moi. Penser à elle oui : elle m'a rapporté la broche,( pour que j'essaye de mieux comprendre le panneau de dentelle) cet après-midi, alors que je me trouvais chez la sœur défunte (8 jours avant lui) de mon défunt mari , occupée à vider les remises avec leur sœur aînée. Elle m'a également apporté copie des documents qu'elle ne sait plus me faire parvenir par le Net depuis plusieurs jours et dont j'ai besoin.. Mais, sur ce que j'ai de plus cher au monde, je n'ai pas tenté de l'appeler par téléphone : je n'ai fait que penser !
Cette nouvelle, en direct, prend des tournures incroyables. Son mari en témoigne ! Dans le passé, avec mon autre sœur, cela se passait sans téléphone, quand elle avait besoin de moi, mais là, si mentalement je peux, sans le savoir !!! faire fonctionner le GSM de ma cadette. Elle m'annonce également, que notre autre sœur, avec qui je "fonctionnais" mentalement ne va pas bien. Craintive, à cause de ce qui a précédé le décès hier de ma marraine , je la rassure (tout en n'en revenant pas!) si j'ai pu faire fonctionner son GSM, uniquement parce que je pensais à elle, c'est que j'ai trouvé des forces plus grandes encore et que nous allons retourner avec succès le mal dirigé contre notre famille lui dis-je.
J'ai bu un verre d'eau en soupant et une tasse de chicorée après le souper. Je ne vous dirai pas fiction ou réalité. Le jour ou j'écrirai cette nouvelle, je donnerai d'autres détails qui me sidèrent.
Merci pour votre soutien moral et vos prières.
Beaucoup de prières suffisent parfois à éloigner les "Esprits Mauvais".
Avez-vous déjà lu l'histoire de "Marthe Robin" ? Une mystique du XXième siècle et encore très proche de nous?
Ne vivant que de l'Eucharistie, elle ne mangeait rien. Et pourtant, elle était portée par la vie.
Suivie attentivement par des médecins, des Prêtres, qui ne pouvaient que constater la réalité de ces faits "anormaux".
Beaucoup de souffrances physiques et morales, mais toujours supportées avec courage grâce à la Protection ce Celui qui peut tout dans l'Amour.
Bon courage Claudine .... avec toutes mes pensées. Mère Grand.
Ce matin, une de mes sœurs m'a téléphoné (elle ne sait plus me joindre par le Net depuis plusieurs jours) J'ai cherché, avec elle, une réponse cartésienne à ces nouveaux phénomènes.
Il y a une vingtaine d'années, mon mari et moi avons effectué et fait effectuer des recherches généalogique sur mon nom et l'avons trouvé parfois avec une variante très proche : "de Quertenmont". On nous a expliqué et nous avons pu le constater par des actes dans les registres communaux, que dans une même filiation, les noms de famille sautent ou ajoutent parfois involontairement une lettre qui transforme le nom.
Ce qui est à retenir, c'est que le blason trouvé à cette époque indique que des lévriers y figure, que cette jeune sœur en a toujours possédé (pour le moment trois) avant ces recherches et que connaissant son amour pour ces chiens, je lui ai offert une broche en représentant... Elle a porté cette broche, il y a quelques jours. celle-ci s'étant ouverte, elle l'a mise dans son sac dont le "brol" est semblable à la majorité des sacs féminins. Hier, elle pêchait, à la recherche de quelque chose dans son sac et s'est méchamment déchiré le doigt avec l'aiguille de la broche qui s'était ouverte. Je m'accroche à cette idée, pour expliquer l'apparition du panneau de dentelle représentant une scène de chasse médiévale. Quant à ce genre de chrysanthème qui n'en est pas vraiment un, la proximité de la Toussaint..
Je refuse cette idée qu'il va se passer quelque chose d'à nouveau terrible dans les jours à venir. C'est-y-pas cartésien ça ? J'ai toujours été forte, pour lutter contre ce genre de choses et ce n'est pas maintenant que je vais me laisser faire :-)
Bonne journée à tous.
Bonjour Fabienne.
J'aurai "peur" d'ouvrir les yeux dans les jours qui vont suivre. Les images qui ne s'étaient plus manifestée depuis plusieurs jours, "m'attendaient" au réveil. Ma chambre est mansardée et au plus bas mesure 80 cm de H. Je sais donc que la boule de fleurs, genre chrysanthème, sans feuille, uniquement les pétales, dessinée sur ma gauche sur le mur avait cette taille. Sur ma droite, flottait un panneau en dentelle à la scène " de chasse médiévale" (je ne suis pas sûre du décor).
Je veux m'échapper de cette idée que cela évoque l'arrivée d'un malheur, tel que celui encore survenu hier dans ma famille.
Depuis hier soir, je prie énormément, pour protéger ma famille et ceux que j'aime.
Je rassure les cartésiens, je ne bois pas et ne me drogue pas, mais là, mentalement, pour le moment je tremble.
Ce n'est pas une histoire provenant d'un passé proche ou lointain que je vous raconte : pas question de fiction ou réalité : c'est du direct !
Mon neveu vient de raccrocher et mon écran toujours allumé, je viens de te lire Fabienne.
Nicole me l'avait dit, il y a quelques jours dans un commentaire et ça me tombe dessus maintenant : c'est inhumain !
Nicole, Nicole, que m'avais-tu dit là en parlant de phénomènes qui souvent précédent un décès. Voilà que je raccroche : ma marraine vient de décéder : la 6ème personne depuis le printemps 2012.
Si je ne le suis pas encore, je vais devenir dingue.
Je te laisse, bisous.
Bonjour Nicole.
En tout cas, il n'y a pas de volonté de suspens : tant mieux si il y en a. Mon écriture est spontanée, à la façon dont on raconte une histoire que l'on a vécue.
J'espère pour toi que tu n'auras jamais à vivre ce genre de situation. Ma fille et moi parlions de cette "aventure" avant-hier, histoire dont elle se souvient très bien. Il faut dire que nous n'avions pas de téléphone physique à cette époque du retour, or.......
Bon WE chère Nicole et à bientôt, pour une autre histoire qui sera précédée d'un poème en cours d'écriture.
Bisous, Claudine.
Coucou Claudine,
Bravo pour l'écriture de tes textes spontanés ! Tu traduis une ambiance inquiétante et tiens ton lecteur réellement " accro " tout au long du descriptif ...
Je t' ai rejointe davantage dans la première partie, ayant vécu des faits similaires dans le passé.
La suite de ton récit fait réellement froid dans le dos.... J'aimerais croire à une fiction !!
Bonne continuation ! Bisous, Nicole
Bonjour à tous.
J'ai décidé de suivre le conseil de Rolande et d'écrire des textes spontanés, plutôt qu'uniquement des poèmes classiques que je n'abandonne certes pas.
L'idée m'est venue d'écrire "en brouillon" avec vous, un recueil de nouvelles pas du tout normales, au sens raisonnable de nos normes et règles de ce qui l'est ou pas. Je les laisserai surgir du passé, lointain ou très lointain et vous les soumettrai.
Je les remettrai dans l'ordre chronologique, lorsque le moment sera venu ou les faits de ma mémoire épuisés, en ferai un recueil que je proposerai à l'édition.
"Fiction ou réalité : à vous de décider", c'est ce qu'ils feront : publication ou poubelle.
En attendant, bisous et bonne semaine. Amicalement, Claudine.