Encore m’attarder
À ce parfum dispersé
Au milieu des nuées
Débauche nourrie
Nul souci sur l’oreiller
Shopping masturbatoire
Des tempes argentées
Les figuiers grelottent
Dans la plaine déserte et désolée
Battue par le vent
Efforts et tourments en quantité
Il faut clore les grandes portes
Des précoces vents d’hiver
Du lamentable ennui.
Et des chants tus
À mon insu
Quitter ces vers brûlants
Plus rien à édifier
Quel chemin donnera l’ivresse ?
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