Aux nuages, j’ai dit ce jour:
Vous comblez mon coeur d’allégresse.
Venus d’un ailleurs fabuleux,
Ils envahissaient le ciel bleu.
Ils y flottaient sans turbulence,
Isolés et dans le silence.
...
Or, le soleil les prit pour cibles.
Soudain, un courant les poussant,
Ils s’unirent en continents.
Je suivais ces métamorphoses,
Quand je vis, au niveau d’un toit,
Dans un îlot, danser ma joie.
15/7/1993
Commentaires
très joli plein de finesse et je rentre immédiatement dans ce monde nuageux et vaporeux !!