Danie, j’aimerais t’embrasser,
Te dire des mots qui égayent,
Je suis loin de toi mais, tu sais,
L’énergie se transmet; j’essaye.
Quand le sort ,soudain, prend pour cible,
Un être que nous chérissons,
Lui inflige un état pénible,
Navrés, nous nous attendrissons.
Or, nous n’avons aucun recours,
Pour atténuer sa souffrance,
Sinon lui dire notre amour,
Porteur d’une douce espérance.
Te voilà condamnée au lit.
Sans doute accueillant la sagesse.
Dès que le courage faiblit,
Elle aide autant que la tendresse.
Comme les belles joies le font,
Les tristes torts s’ensevelissent.
L’oubli se veut parfois profond.
Viendront à toi d’autres délices!
5 novembre 2010
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