Mer’moires de Moi ...
Ma Mer, ta mère, mon maire,
Mais quelle « M.E.R. » me direz-vous ?
Mais La Mer, la mienne,
Pas celle de Brel,
Celle que l’on décline à tous les temps,
Mais celle qu’avant tout je me conjugue
Encore et toujours suivant le vent.
Celle que je mer’morise,
Celle qui me fait vibrer,
Qui à la douleur m’insensibilise,
Cette mer’dicament
Qui m’apaise et me tranquillise,
Cette mer’ssage, soporifique,
Au pouvoir calmant,
Qui dès que je suis devant
Refoule mes mer’tastases,
Les enfouit en son sein écumant.
Ma mer’tamorphose,
Qui me distille à juste dose
Ton optimisme lorsque je flanche.
Mer’ci, ma mer’veilleuse
Pour cette osmose si lumineuse,
Pour ta mouvance qui m’accompagne
Et qui me berce, mon Océane.
Mieux que la mer, tu es ma MER,
Celle dont je me nourris,
Qui m’alimente, par qui je vis.
Attends-moi Mer d’argent,
Mer’cure aux remous blancs,
Prends - moi et m’emprisonne
A jamais dans tes flots brûlants.
Ensorceleuse, oh, mer’matrice,
Ne soit plus la mer’moréenne
Qui sous tes appâts factices
Ne te changent soudain en Mer Noire.
Osmose-moi, mer’dicine moi
Et dans tes eaux engloutis - moi
Pour que tu demeures ma Mer’moire.
Et mer’de,
Je divague,
Tant tu me transportes et m’enflammes,
Ma Mer
Je t’Aime,
Toi, Ma Contrée,
Mon port d’arrivée, mon horizon infini,
En t on sein je suis née,
En ton sein je repartirai.
Clo ( 25 Août 2009 )
Ma Mer, ta mère, mon maire,
Mais quelle « M.E.R. » me direz-vous ?
Mais La Mer, la mienne,
Pas celle de Brel,
Celle que l’on décline à tous les temps,
Mais celle qu’avant tout je me conjugue
Encore et toujours suivant le vent.
Celle que je mer’morise,
Celle qui me fait vibrer,
Qui à la douleur m’insensibilise,
Cette mer’dicament
Qui m’apaise et me tranquillise,
Cette mer’ssage, soporifique,
Au pouvoir calmant,
Qui dès que je suis devant
Refoule mes mer’tastases,
Les enfouit en son sein écumant.
Ma mer’tamorphose,
Qui me distille à juste dose
Ton optimisme lorsque je flanche.
Mer’ci, ma mer’veilleuse
Pour cette osmose si lumineuse,
Pour ta mouvance qui m’accompagne
Et qui me berce, mon Océane.
Mieux que la mer, tu es ma MER,
Celle dont je me nourris,
Qui m’alimente, par qui je vis.
Attends-moi Mer d’argent,
Mer’cure aux remous blancs,
Prends - moi et m’emprisonne
A jamais dans tes flots brûlants.
Ensorceleuse, oh, mer’matrice,
Ne soit plus la mer’moréenne
Qui sous tes appâts factices
Ne te changent soudain en Mer Noire.
Osmose-moi, mer’dicine moi
Et dans tes eaux engloutis - moi
Pour que tu demeures ma Mer’moire.
Et mer’de,
Je divague,
Tant tu me transportes et m’enflammes,
Ma Mer
Je t’Aime,
Toi, Ma Contrée,
Mon port d’arrivée, mon horizon infini,
En t on sein je suis née,
En ton sein je repartirai.
Clo ( 25 Août 2009 )
Commentaires