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chronique (7)

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De fin août à juin inclus, les Rencontres Littéraires de Bruxelles, vitrine de l'édition littéraire belge, nous convient à découvrir, chaque dernier mardi du mois dès 19h à l'Espace Art Gallery, 83 rue de Laeken, trois auteurs de qualité, un drink de la convivialité concluant la Soirée, également au menu de celle-ci une lecture libre de leurs propres textes par quatre participants et une séance de signatures de leurs ouvrages par les trois auteurs sous les projecteurs, Robert Paul étant l'initiateur de cet événement mensuel devenu incontournable, Gérard Adam, auteur prolixe et directeur des éditions M.E.O. l'animateur passionné des Rencontres, Jerry Delfosse le directeur chevronné de l'Espace Art Gallery accueillant les entretiens.

Ce mardi 28 août, pour la reprise, le thème à l'honneur: "Publier un premier roman", mais pas seulement, les auteurs invités nous parlant de leurs "bébés": Annick Walachniewicz de "Il ne portait pas de chandail", Lorenzo Carola de "Le dieu des pierres", Elodie Wilbaut de "Le Voisin de la Cité Villène", Gérard Adam nous présentant sans détour l'acte créateur telle une pulsion profonde, énigmatique bien des fois - "Je ne sais pas pourquoi j'écris mais j'écris" -, une projection vers la lumière d'un regard intérieur, soulignant en clôture la maîtrise des auteurs sur leurs romans joliment structurés.

Un record d'affluence, une atmosphère sereine et conviviale, des auteurs réfléchis, qui nous captent, un Gérard Adam jovial, investi, des lectures d'extraits des trois romans présentés par un Daniel Simon inspiré, fidèle à lui-même, des sourires et des rires particulièrement avec Lorenzo Carola, l'enregistrement de la rencontre par Radio Air Libre 87.7 FM (qu'on se le dise!), ont été les ingrédients, parfaitement dosés, de la réussite de cette soirée, le trio d'auteurs...à la hauteur!

"Il ne portait pas de chandail", Annick Walachniewicz: patchwork, assemblage de brefs fragments de vie, la jeunesse d'un père déporté en 1943, de significatifs épisodes de la vie de la narratrice en Wallonie, une autoanalyse poétique, un secret stupéfiant révélé à l'origine du roman, des bribes d'informations récoltées sur son père ayant permis à l'auteure d'en démarrer l'écriture. Annick est posée, claire, une belle diction, et nous la sentons émue, quoi de plus normal, les souvenirs affluant. Et une famille se retrouve minée par le secret. Le tabou? La résilience? Des thématiques majeures, à prendre en considération. Un second roman? En cours, affaire à suivre...

"Le dieu des pierres", Lorenzo Carola: revenu à Naples pour accompagner son père dans ses derniers moments, le narrateur se remémore une nuit vécue, très particulière, à la clé une confidence, essentielle, sur sa vie, sur son passage de l'adolescence à l'âge adulte. La découverte de la sensualité, la sexualité, l'illusion, profonde subtilité et catharsis initiatique en chemin, à l'origine du roman un atelier d'écriture et cette petite phrase toute simple: "Il était toujours en retard". Une écriture sur sept ans, exploration de la relation père-fils avec détour par les maisons de passe, confidences, chocs et flashes "on the road". Un second roman? Plusieurs projets en chantier...

"Le Voisin de la Cité Villène", Elodie Wilbaut: entre 1985 et 1994, des enfants ont été abusés par un pédophile; devenus adultes, ils portent plainte, c'est alors le début d'un procès... Une belle qualité de narration pour un récit dépassant le simple cadre de vie, à l'origine de l'écriture la participation de l'auteure à un procès suivi par seulement trois personnes, un parcours du combattant en procédures, enquêtes multiples, un véritable engrenage mis au jour, émotion dans le public, une Elodie touchante. "L'emprise existe bel et bien dans la relation...". Un second roman? Des "choses" sur le plan de table...

Au final? Quelques jolies interactions avec l'auditoire, le point de vue affirmé de Daniel Simon sur deux des ouvrages présentés et un drink animé où les paroles pétillaient autant que les bulles... Prochaines Rencontres? Le dernier mardi de septembre où nous parlerons de nos anciens profs...

(Thierry-Marie Delaunois auteur, chroniqueur, membre Arts et Lettres, 29 août 2018)

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25 septembre 2018: une nouvelle fois, les Rencontres Littéraires de Bruxelles orchestrées par Robert Paul et animées par Gérard Adam tiennent leurs promesses, l'intérêt et la convivialité au rendez-vous des échanges, quelques confidences à la clé et Radio Air Libre sur le pont, micros et prise de son de précision pour l'enregistrement de ces Rencontres vitrine de l'édition belge. Rappelons au passage que Radio Air Libre est une radio associative d'expression et d'éducation permanente subsidiée par la Fédération Wallonie-Bruxelles, mettant en valeur nos Lettres. Bonheur.

Thématique de ce soir: "Des nouvelles de nos anciens profs", les auteurs conviés: Françoise Houdart, Michel Ducobu et Michel Voiturier. F.Houdart avec "Dieu le potier et quelques autres", un recueil de nouvelles aux tonalités variées. Nous voltigeons ici du sombre au clair, de la joie à la peine, de l'enfance au grand âge, souvenirs au menu, du fantastique on ne peut plus quotidien en filigranes, parfois même davantage. M.Ducobu avec "Un Belge au bout de la plage", également un recueil; y règne la profondeur, les destinées diversifiées: un professeur se donne la mort pour s'être ridiculisé devant ses élèves, une femme victime d'abus sexuel provoque des collisions, un piéton impénitent part en guerre contre l'incivisme des automobilistes,... M.Voiturier avec "L'Escaut de-ci, de l'eau", à nouveau un recueil de nouvelles sous différents tons, au fantastique diffus et le mystère à nos portes, dans des lieux avoisinant l'Escaut. Le présent malmené par l'économique, un passé qui resurgit dans un futur contraignant, sensibilité et émotions en chemin.

D'entrée de jeu, Gérard Adam, spirituel et le propos aisé, nous prévient que nous sommes en présence d'écrivains chevronnés à l'écriture maîtrisée et de haut vol. Pourquoi se sont-ils lancés dans l'écriture de nouvelles, genre littéraire véritable condensé notamment de psychologie trouvant son origine au Moyen-Âge et nous présentant des récits ou histoires relativement courtes? Françoise Houdart nous confie que pour elle c'est écrire autrement. C'est tel un éveil ou réveil, l'attention à maîtriser son sujet étant ici plus accrue que pour l'écriture d'un roman où parfois l'on disserte ou diverge, cela dépend bien sûr des auteurs, du cheminement de leurs pensées. Ses recueils, elle ne les écrit point en un seul jet. Michel Ducobu lui nous avoue que des raisons d'ordre pratique le guident, la genèse d'un roman nécessitant plus de temps, et notre auteur aime saisir au passage les événements de sa vie dignes d'être relatés ou susceptibles d'être à l'origine d'une histoire véritablement prenante. Michel Voiturier évoque lui aussi cette question du temps, également son envie à "ne pas raconter trop long"!

Tous profs - qui le sont ou l'ont été -, nos trois auteurs sont invités par notre animateur bien-aimé à s'exprimer sur leurs ouvrages, donc sur eux-mêmes, l'émotion - mot-clé de cette chronique - jamais loin. Droit, convivial, Michel Voiturier se caractérise par "le décalage" et sa qualité d'écriture, son recueil descendant l'Escaut au fil des nouvelles, un grain de sable en chemin enrayant soudain la mécanique, la sensualité point en reste avec son récit "Sens unique", une touche de fantastique - autre mot-clé de cette chronique - ponctuant son oeuvre, les extraits choisis en lecture nous dévoilant aussi un bel humour. Sourires et rires. Avec sensibilité, Françoise Houdart nous livre ses mots-clés à elle: vieillesse et mémoire, des gens et du terroir, passion en demi-teinte, une gamme d'émotions comparable aux nuances de l'arc-en-ciel, au passage également des souvenirs tels que l'évocation de son grand-père, le fantastique - encore lui - dans l' apparemment ordinaire présent. Subitement, un edelweiss nous est raconté... Souriant, Michel Ducobu nous parle de la vie suite d'accidents heureux et malheureux, des profs en scène dans son recueil mais qui se suicident, l'inattendu, les contingences, l'adaptation au coeur de son ouvrage, ses nouvelles la plupart philosophiques nous menant à prendre conscience qu'il faut toujours s'attendre à tout, la jubilation n'étant point absente avec son histoire de chiens entre autre. Attention et sourires.

Les lectures qui ont suivi? Contrastées etjoliment applaudies, la soirée se concluant par un drink chaleureux en rouge ou blanc. Au choix. Une réussite? Une fois de plus!

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Une table cent pour cent masculine, trois belles personnalités littéraires autour du thème "Avec de l'Italie qui descendrait l'Escaut", des regards chargés d'histoire, cette rencontre du 26 juin à l'Espace Art Gallery n'a pas démérité face aux précédentes tant le coeur y était ainsi que les mémoires, quelques interactions pleines avec l'auditoire témoignant de l'intérêt et d'une attention soutenue, notre animateur Gérard Adam passionnant et fidèle à lui-même, citant en ouverture quelques prénoms de ses anciens camarades d'origine italienne d'une époque pas si lointaine. Souvenir, souvenir...

Le premier à évoquer ce passé, immigration et/ou exode: Lorenzo Cecchi avec "Faux témoignage", une fiction historique s'étalant sur plusieurs décennies: dans l'Italie d'après guerre touchée par le chômage, le jeune Osvaldo, pour s'être opposé à un père violent, doit quitter son village... Gérard Adam nous lit un passage particulièrement parlant de l'ouvrage qui est émaillé de personnages fascinants, et en découle un échange intimiste et sans pathos ponctué de souvenirs et d'anecdotes, les mines et la silicose évoqués car incontournables en cette période à la fois rude et éprouvante, Cecchi inspiré revivant très certainement ce passé dans son esprit.

Suit Giuseppe Santoliquido politologue et écrivain belge avec "L'audition du docteur Fernando Gasparri": Bruxelles, été 1932; alors que des grèves sèment le désordre dans le pays, le docteur Gasparri accueille un couple de jeunes exilés originaires de la même région que lui, une fiction passionnante, intelligente, une audition fort énigmatique à la clé, avec une fin ouverte, que Santoliquido nous relate d'une voix calme et posée, l'extrême-droite évoquée également au cours de l'entretien, quoi de plus normal en fin de compte? N'oublions point que nous sommes dans les années trente...

Conclut le tour de table Franscesco Pittau avec un premier roman "Tête-Dure", môme de cinq six ans "soulevant d'une main le bord frangé de la pesante nappe en tissu qui dissimule depuis une heure ses jeux...", d'une famille d'immigrés italiens venus travailler en Belgique, une épopée extraordinaire avec de belles évocations, au discours clair, percutant, Gérard Adam, théâtral, nous en lisant plus d'un extrait, Pittau souriant, lucide, nous présentant le parcours de cet enfant avec soudain cette réflexion - prise de conscience de l'immigré revenu en Belgique: "Je viens de m'apercevoir que je suis belge!". En dire davantage sur cette rencontre? Difficile, les mots seraient soit insuffisants, soit peu représentatifs de ce qui s'est vécu, il faut venir sur place mais évoquons néanmoins pour conclure cette tendresse et bienveillance qui traverse les ouvrages - mais avec un peu plus de causticité avec Pittau - mis à l'honneur, l'intervention haute en couleurs de Daniel Simon - une remarque pertinente à l'attention de chacun des protagonistes- et le texte-hommage final et inspiré de Gérard Adam... Les Italiens font pleinement partie de notre histoire...Viva Italia!

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Vérités, confidences, inspiration et qualité d'écriture avec Michel Torrekens, "Papas!", observateur, l'assurance tranquille, de la conversation; Alain Berenboom, "Monsieur Optimiste", ouvert, l'humour et la sensibilité au clair de l'homme; Isabelle Bielecki, "Les Tulipes du Japon", touchante, la force et la clarté du propos, tous trois pour une exploration des relations - parfois épiques! - avec le père. "Mon père, ce héros"? Il peut très bien se révéler amour, crainte, admiration, méfiance, acceptation ou éloignement, c'est selon le vécu, la complexité de notre être jouant son rôle dans l'évolution de nos rapports avec lui, le présent se forgeant presque toujours dans le passé, les souvenirs bons et moins bons parfois à fleur de peau comme ce fut le cas au cours de cette soirée où fiction romanesque et réalité se sont intimement côtoyés.

Avec panache, Gérard Adam introduisit la rencontre de la plus belle des manières: "Envers et contre tout, nous sommes présents et poursuivons la mise en valeur de nos Lettres...". Lancé, il donna ensuite la parole à Michel Torrekens et ses "Papas", l'auteur à la fois pensif et en verve, des confidences en chemin, Alain Berenboom et son "Optimiste" lui succédant, vif, spirituel, le sourire désarmant, Isabelle Bielecki et ses "Tulipes" clôturant superbement le premier tour de table. Une auteure très intérieure, d'une belle profondeur. "On dit que les fleurs expriment nos sentiments mais sait-on qu'elles peuvent garder les secrets comme personne?"

Au second tour, des passages des oeuvres présentées ont été lus par les auteurs eux-mêmes, contrastes de mise mais les papas, l'optimiste et les tulipes faisant malgré tout bon ménage au coeur de l'Espace Art Gallery, la soirée s'étant poursuivie avec deux lectures publiques, de belles signatures de nos auteurs à l'honneur, le verre de l'amitié en clôture. Notre prochain rendez-vous? Le 29 mai à 19h mais au 83, rue de Laeken, avec Robert Paul, Jerry Delfosse et Gérard Adam, notre trio-concepteur!

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   Vitrine sur l'édition belge de qualité, les Rencontres littéraires de Bruxelles qui se déroulent chaque dernier mardi du mois à 19h à l'Espace Art Gallery (EAG, rue Lesbroussart, 35, 1050 Bruxelles) accueillaient ce 30 janvier la solitude et la rencontre, des thématiques judicieusement choisies par Gérard Adam, animateur hors pair de ces soirées qu'il orchestre avec grand soin, mettant chaque mois en valeur trois auteurs publiés chez nous, cette première soirée de l'an 2018 se révélant un soir d'auteures d'exception à la voix posée, calme et investie qui nous ont délivré leurs messages par le biais de leurs publications les plus récentes: Isabelle Fable avec "Femmes en souffrance" et "Noir ou bleu?", Martine Rouhart avec "La solitude des étoiles" et Claire Ruwet avec "La femme mosaïque" nous ont allègrement entraîné dans leurs univers respectifs, nous dévoilant qu'il existe en fait différents types de rencontres comme de solitudes, nuances et sensibilités au clair de ces dames auteures et poètes.

  Venir aux Rencontres, c'est avant tout être reçu chaleureusement par Robert Paul et Jerry Delfosse, organisateurs et piliers de l'EAG, et ce 30 janvier, la galerie a accueilli en son sein pas loin de quarante âmes, parmi celles-ci des personnalités de notre monde littéraire attentives aux mots, à l'expression, aux pensées, aux idées. Passionné de belles Lettres, Gérard Adam nous a conviés à deux tours de table, le premier s'attachant principalement à la solitude, le second à la rencontre, Martine Rouhart, en position centrale, ouvrant le feu (Comprenez-le bien!) d'une voix porteuse, étoiles au firmament de ses pensées, Isabelle Fable suivant, le propos pertinent, les femmes et leurs sentiments avant tout, Claire Ruwet fermant la marche mots-saïquement, également un brin théâtrale, charmant de cette manière le public, des extraits de leurs oeuvres ayant été lus face à un auditoire compact (salle comble) manifestement conquis.

  Le corps de la soirée une fois clôturé, ne pouvait que surgir une salve d'applaudissements nourris amplement méritée puis, avant un drink qui fut animé et réellement festif, on eut droit à deux lectures libres, un extrait de "Les Tulipes du Japon" de Isabelle Bielecki par l'auteure en personne, et de "Auprès de ma blonde" de Thierry-Marie Delaunois également présent à la soirée mais bien d'autres écrivains et non des moindres étaient venus à cette Rencontre mensuelle.

  Rencontres d'exception(s) à l'EAG? Pas loin de quarante personnes vous le garantiront, la prochaine étant prévue le 27 février. A vos agendas!

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Claire, Françoise, Annie, rencontres...

Mardi 26 septembre, 19h, une galerie bruxelloise, pas la moindre, animée, vibrante, quelque chose s'y prépare, une rencontre, en fait elle est triple. Trois auteurs s'y présentent, trois sensibilités, émotion contenue:

Claire Deville, "Les Citrons", Murmure des soirs, un phrasé calme, clair, inspiré, habité même;

Françoise Steurs, "Déséquilibres ordinaires", Cactus Inébranlable, distinction et convivialité;

Annie Préaux, "Bird et le mage chô" (comprendre chômage), M.E.O., assurance tranquille et belle transmission.

Un animateur-éditeur, Gérard Adam, chaleureux, attentif, véritable passeur, guide nos trois auteurs au travers d'un dialogue autour du thème "Le roman de la fracture". Physique, psychologique, émotionnelle, un panel non négligeable et tour à tour, Claire, Françoise et Annie répondent aux attentes, sourires et attitudes de réelle écoute, qu'espérer de mieux? Le public était au rendez-vous, quelques personnalités du monde littéraire glissées dans le public, à l'écoute de nos écrivains, les extraits accrocheurs, signatures et verres s'entrechoquant en clôture.

Les rencontres littéraires de Bruxelles de l'Espace Art Gallery, rue Lesbroussart 35, 1050 Bruxelles, une attrayante vitrine de l'édition littéraire belge aux trois temps fort successifs: la rencontre-dialogue en elle-même, une lecture libre de leurs propres oeuvres par quatre participants à la soirée, des signatures et discussions informelles autour du verre de la complicité. De beaux textes, du beau monde, une atmosphère particulière où les mots sont rois et les pensées reines.

Ces rencontres? Mensuelles, toujours le dernier mardi du mois, qu'on se le dise et se le transmette!12273254488?profile=original

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Prévus: Lilliane Schrauwen, Aliénor Debrocq (malheureusement absente pour raison personnelle) et Jean Jauniaux, une soirée passionnante, conviviale, beaucoup d'intérêt avec un Gérard Adam motivé et enthousiaste.

Plaisirs au rendez-vous: discussion animée, des auteurs inspirés, des ouvrages diversifiés, un public nombreux - plus de place libre-, quelques flashs, des applaudissements nourris pour des écrivains de haut niveau, ensuite quatre lectures très contrastées très bien reçues par l'auditoire.

Les rencontres littéraires à l'Espace Art Gallery? A ne pas manquer car les échanges y sont puissants, humains...

Merci à Robert Paul, Gérard Adam, Jerry Delfosse, Liliane Schrauwen, Jean Jauniaux, merci à tous!

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