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                       Absolument ravie de retrouver notre cher réseau, dont je salue l'ensemble des membres éminents après quelques péripéties rocambolesques... peu attrayantes, de connexion Internet...
                     J'adresse tous mes vifs remerciements à l'égard de  ceux qui se sont si gentiment inquiétés de mon silence obligé et transmets ma profonde gratitude à "l'Ange gardien" (sic!) qui se reconnaitra, alias le précieux G. C., qui m'a permis de vous rejoindre au plus vite et de reprendre normalement mes activités !
                     Je dédie donc à mon sauveur émérite cette pensée, en raison de la fraicheur, de toute la spontanéité dont il fait preuve, sans l'ombre d'un esprit mercantile, ni de la plus infime cupidité, chose suffisamment rare à notre époque, méritant d'être soulignée :


"Sous la couche épaisse de nos actes, notre âme d'enfant demeure inchangée ;

l'âme échappe au temps. "

François Mauriac


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"La  Promesse de René  Magritte "

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Commentaires

  • C'est fort aimable à vous de vous donner la peine de sortir de votre "ermitage de pensée" de misanthrope, pour m'adresser ce lien, qui malheureusement ne semble plus disponible pour l'heure ; mais croyez bien que j'apprécie votre geste et en retour, je vous dédie cette belle prose que vous connaissez certainement :


    "Si j'étais plante, je ne voudrais pas être de ces plantes qui ont trop affaire à l'homme. Ni avoine, ni blé, ni orge parqués, sans pouvoir en sortir, dans un champ en règle - et on ne laisse même pas aux blés leurs bleuets pour se distraire - ni surtout ces légumes soumis et rangés, ces carottes alignées, ces haricots qu'on dirige à la baguette, ces salades qu'on force à pâlir en leur serrant le cœur quand il fait si beau alentour et qu'elles voudraient bien être grandes ouvertes.

    J'accepterais encore d'être herbe à tisane, serpolet ou mauve, ou sauge, pourvu que ce fût dans un de ces hauts battus des vents où ne vont les cueillir que les bergers. Mais j'aimerais mieux être bruyère, gentiane bleue, ajonc, chardon au besoin, sur une lande abandonnée, ou même un champignon pas vénéneux, mais pas non plus trop comestible, qui naît dans la mousse, un matin, au creux le plus noir du bois, qui devient rose sans qu'on le voie et meurt tout seul le lendemain sans que personne s'en mêle.

    Et si j'étais animal, je ne voudrais pas être bête de maison ou de ferme, pas même la chèvre qu'on attache au piquet et qu'on rentre dans une étable pour la traire, ni une de ces poules dans la basse-cour, toutes mêlées aux marchés de l'homme et qui peuvent se dire l'une à l'autre quand elles ont pondu un œuf : " C'est quinze sous que j'ai fait là et je vaux dix francs la livre "... Non! Non! J'aimerais mieux être lièvre, ou renard, ou biche, ou rossignol qui ne rencontrent l'homme jamais que le jour où il les tue.

    Et j'aurai été toute ma vie animal des plus domestiques, bête de somme, chien attaché, serin en cage. Ou légume à faire la soupe. C'était la volonté de Dieu."

     Marie Noël

    (Texte tiré de "Notes Intimes",1959)

     

  • Chère Valériane retrouvée

    belle dame d'Alizée,

    Effectivement je m'inquiétais de votre silence

    et dans le doute,  j'attribuais.

    à trop de travail votre absence

    et même, j'imaginais...

    et même j'avoue

    pour vous

    je rêvais

    au soleil, de petites vacances !

    Sans trop y croire...

    Aussi je me réjouis très fort

    de vous revoir

    et de revoir

    encore et encore !

    tous vos merveilleux apports !!!!

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