Poème dédié à mon amie Maria Térésa BERTINA le 14/03/2013
Les notes parfumées d’amour et d’illusions,
Se répandent dans l’air des soupirs bienheureux,
Des roses du matin cueillies à profusion,
Pour les offrir aux sens d’un ami chaleureux.
Quand l’archet alerte dupe le rossignol,
La maison se remplit de trilles apaisants,
Qui échappent au temps ainsi qu’au grand-guignol*,
Sur une portée d’accords de poèmes grisants.
Violon blanc virginal, il porte la passion,
Les plaintes et les joies au cœur des sentiments,
De feu ou de chagrins jusqu’à l’expiation,
Du délit de volupté ravi étourdiment.
Claudine QUERTINMONT D’ANDERLUES.
- Grand-guignol (figuré) Situation ou lieu épouvantable.
Huile sur toile de Maria Térésa Bertina.
Commentaires
Bonsoir Jacqueline et Sandra.
Merci d'être passées et d'avoir laissé une appréciation. Bonne soirée. Amicalement, Claudine.
Bonjour Michel.
Je fais glisser l'archet de mon imagination sur le violon blanc, pour te remercier de ton passage.
Excellent WE. Amicalement, Claudine.
Le violoniste de Chagall a laissé s'envoler son instrument par-dessus les toits, le vent l'a emporté pour le poser sur la toile et dans les mots de ce duo. Une réussite.
Bonjour Serge.
Merci d'avoir apprécié mon poème. Bonne fin d'après-midi.
Claudine.
Bonjour Jeannine.
Heureuse que mon poème et la peinture te plaise. Je suis sûre que Mai-ria Térésa sera ravie.
Bonne journée à toi. Bisous, Claudine.
C'est toujours un plaisir Claudine ! Bisous
Bonjour Solen.
Les violons m'ont toujours inspirée et si on y ajoute des roses blanches, alors là !
Merci d'être passée chère Solen et à bientôt. Bisous.
Merci Claudine, gros bisous!!!
Toutes mes félicitations Claudine pour ce merveilleux poème ,associé à cette peinture de Maria Térésa .
Ce duo est superbe , tel un violon et son archet !
Bravo à toutes deux !
Je t'embrasse chère Claudine
Solen
Bonsoir Yvette.
J'aime le romantisme de cette peinture qui ne pouvait que m'entraîner à sa suite.
Merci chère amie d'être passée chez nous. Bonne fin de WE pascal. Bisous, Claudine.