Statistiques google analytics du réseau arts et lettres: 8 403 746 pages vues depuis Le 10 octobre 2009

Le Germe de l’Âme

 

Le Germe de l’Âme

 

Ou est le commencement? Ou est l’origine? Ou est  Le début de l’Âme ?

 

Certains l’ignorent, d’autres pensent qu’elle n’existe pas, plusieurs  reconnaissent sont existence,  des recherches, des polémiques, elle est la,  l’Âme, chacun la sienne, nos rapports avec elle est notre décision…. 

 

Je voudrai savoir le parcoure du  Germe de mon Âme…Je ferme les yeux, je respire profondément et je voyage….. s 

La fusion de deux astres, la collision, des millions d’étincelles qui s’éparpillent  dans le cosmos, l’une d’elle est Le Germe de mon Âme… l’odyssée  a commencé…..plusieurs formes, différents genres  de vie dans des différentes planètes, pierres aux vibrations étranges, végétations colorées, animaux féroces ou doux, humain, hommes et femmes de toutes races….. Le périple est long….Je suis la….

 

Je suis la avec la mémoire de l’origine, avec les souvenirs du voyage…..Je suis celle que je suis…..Je suis la conséquence….Mais je ne suis pas la fin

 

  Et vous………

 

Envoyez-moi un e-mail lorsque des commentaires sont laissés –

Vous devez être membre de Arts et Lettres pour ajouter des commentaires !

Join Arts et Lettres

Commentaires

  • Gil

     Bonjour j'adore ce que tu écris, tous est vrais ce que tu écris ce que j’écris,dans aucun sujet une seul vérité n'existe pas.... chacun a  la sienne et toutes sont valable.

    J'espere te lite souvent tes messages sur mes petits contes

    Jale

     

  • Bonjour Jale,

     

    Y a-t-il une âme ? Qu’est-ce que l’âme ? Ces questions peuvent être suivies, poursuivies indéfiniment par bien d’autres concernant la vie, les liens ou pas du corps et de l’esprit, et qu’on traite depuis des millénaires à ne trouver pour l’heure que moult controverses qui perdurent entre toutes les thèses de la philosophie, de la théologie, de la psychanalyse, et dans tous les états de la poésie. Je note aussi qu’il n’y a sur ces questions nulle étude scientifique sérieuse, à moins d’admettre l’idée farfelue de l’âme qui pèserait 21 grammes, ou de donner crédit à des thèses apparentées à de la science mais sans protocole, sans épreuves d’expérience.

    Face à ce constat, on ne peut que l’humilité d’une position qui soit totalement à mettre en discussion, en débat, qui ne s’appuie pour une grande part que sur quelques intuitions et qui à mon avis aurait tort de s’afficher comme une conviction.

    Toutes les questions de l’âme me semblent dans le débat général, fondamental, cet affrontement entre la notion de vie et la notion de mort, entre tout destin individuel et une destinée collective. C’est pourquoi je pense que s’il est une âme en chacun de nous, elle est morceau de l’âme collective. Il me semble que tout a été dit depuis longtemps de notre nécessaire, l’air, l’eau, la nourriture, au niveau individuel, et de l’amour, pour la fécondité de l’espèce et pour des relations capables de bâtir pour l’humanité un avenir le plus long possible.

     

    Il nous faut admettre que nous soyons une forme de vie terrienne parmi bien d’autres de nombre très grand et inconnu, qu’on peut supposer qu’il en est d’autres ailleurs dans l’univers, et que même la science-fiction n’a pas imaginé. Cela me fait imager l’âme au niveau de l’individu comme une terre, un morceau de notre planète qui serait image de l’âme collective. Morceaux de planète, nous sommes ainsi différents d’une âme partielle. Le prime terrain a des qualités plus ou moins grandes de minéralité et de fertilité, de proximité ou d’éloignement des zones dangereuses, et il fait le nomade et le sédentaire, et aussi le marin qui repart aux notions de nos origines, aux voyages qui ont peuplé les continents, bien avant Colomb et Magellan.

    Le prime terrain du terrien est à envisager face à ses besoins vitaux, face aux connaissances des choses qui prennent racines, tous les faits de soleil, de vent et de parcours d’une goutte d’eau, et face aux notions des choses perméables. Et le voilà qu’il est une histoire d’expériences entre qui s’en afflige et qui le jardine.                         

    J’imagine le mien repris à la mer, fait de sable, une épaisseur perméable, raisonnable à retrouver aisément la couche d’argile et multiples sources. Il est en climat tempéré. Y sont venus des générations de jardiniers patients qui lui ont parlé, qui l’ont bien amendé et protégé de haies à nichées d’oiseau. Ils y ont laissé leurs traces par la géométrie transmise par des cordeaux et des longueurs ancestrales de pas, de mains, de morceaux de bois, et aussi de l’aiguiser à l’usure des outils, et leur nombre pour faire une vie satisfaite. Ainsi donc mon âme est perméable, et c’est aussi l’arrosoir, le suivi de la goutte d’eau. C’est aussi le langage des poumons des jardiniers. C’est tout ce que je veux protéger et propager, c’est toute envie de l’invitation aux jardins, et par là même aux amours intemporels. Et c’est toute idée dans la patience et dans la tempérance, comme hors du temps. C’est aussi peser l’indulgence et c’est l’inclination pour l’enfant qui quitte les allées, pour l’oiseau qui vient voler et se moquer, mais pas pour qui vient tout piétiner.

    Et tout au bout, mon âme partielle est comme bien d’autres, l’âme qui cherche la substance d’une âme universelle qui pourrait nous sauver de bien des choses cruelles.

     

    Bonne journée. Amitiés. Gil                               

  • Un recherche

     

  • Question essentielle s'il en est une! Je pense que l'âme n'est pas plus une fin que nous, c'est le plus du mystère, le mélange subtil de tout ce qui fut avant nous et de notre petite contribution, notre personnalité, notre originalité, c'est peut-être cela notre essence ou notre âme?

    Merci pour cette question qui interpelle...

    Amicalement

    Jacqueline

  • Merci a toi Benedicte de me lire
This reply was deleted.

Sujets de blog par étiquettes

  • de (143)

Archives mensuelles