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Ce vendredi 22 novembre : les 40èmes rencontres !
Publié(e) par Delaunois Thierry-Marie le 21 novembre 2024 à 3:57
Poème sur la mort, prière amérindienne magnifique, à lire si vous vous sentez mal suite à la perte d'un être cher.
Publié(e) par Dominique Prime le 15 juillet 2012 à 10:27
De l’art d’être malheureux dans « Capitale de la douleur »
Publié(e) par Robert Paul le 25 août 2012 à 11:30
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Commentaires
La felecita.
Joie, bonheurs, tendresse, qu’importe
Seul compte ce qu’ils s’apportent
et pourquoi se poser des questions
l’essentiel est d’être à l’unissons.
Temps qui passent les indiffère
Leur alliance est plus dure que le fer
Aucune substance ne peut l’altérer,
Le meilleur burin ne peut la couper.
Insipides pensées qui empêche d’aimer,
allez, oust, elles vont dans le panier.
Morale refuge de ceux qui n’osent pas,
allez, oust, elle va dans le cabas.
Et puis pense aux pauvres timides,
ils voudraient bien mais n’osent pas
Marasme de l’esprit, du bien et du mal
pour simplifier, il ne reste que le banal
Avec le temps l’image s’est ternie
Voici les rides, les rondeurs et les plis.
Mixage savant de honte et de pudeur
Leurs regards expriment une douleur.
On ne doit pas ce montrer dénudé
à nos âges les corps sont déformés
Non, les traits perdent de leur raideur
ils prennent du relief et de la douceur
Où est l’être que j’ai chéri, aimé. ?
C’est moi, ai-je tellement changé ?
Une inconnue, «non, je ne suis pas une chose»,
Tu me reconnais c’est moi, ton paradis, ta rose.
Rappelle-toi, comme nous étions heureux,
les promenades, les enfants joyeux
C’est notre patrimoine, notre trésor
Que veux-tu, malgré tout je t’adore.
J’ai très envi de vivre, excuse ma hardiesse
j’ai besoin de regards pleins de tendresse
ils me réchauffent et me font exister.
Pour le reste peu importe, il reste l’éternité.
Jani