Ce jour d'été fut captivant.
Je sentis s'alléger mon être
Et mon entrain d'antan renaître;
Je m'en aperçus en chantant.
La nuit venue, dans la douceur,
Je pensais, en prenant ma plume,
À cette énergie qui rallume
La joie de vivre avec ardeur.
Ne m'arrive aucune parole,
Attentive, l'esprit ouvert,
J'espérais recevoir des vers;
Le silence me paraît drôle.
Ma muse demeure muette,
Ne m'offrira pas, en cadeau,
La splendeur voguant en radeau,
L'ivresse de l'été en fête.
7 septembre 2014
Commentaires
Enfin un poème joyeux, chère Suzanne !
Vous transmettez à travers vos mots tout le dynamisme d'une fête, et j'y plonge avec enchantement.
Que ce bonheur vous accompagne longtemps !
"Bouquet estival"