Mes amis s’étant éloignés,
Je m’étais installée, seulette
Dans, la sérénité parfaite,
Jardin des souvenirs soignés.
Je n’aurais pu imaginer
De nouvelles et riches rencontres.
Me sentant lasse, j’étais contre
Tout ce qui n’est pas spontané.
Or me voilà dans un décor,
Paisible et tout près d’une rive,
Où des murmures à la dérive,
Apportent idées ou réconfort.
Des groupes de récents amis,
Sensibles et généreux, échangent.
Certains me paraissent des anges.
Les vilains ne sont pas admis.
À l’ère de la transcendance,
Mais aussi des calamités,
D’une affreuse réalité,
La douceur sème l'espérance.
Commentaires
très judicieux Suzanne.
Amicalement
josette
Très tendance, ce beau poème, Suzanne.
Arts et lettres pourrait en être la vedette...
Puis-je l'utiliser ?
Amitiés ,
Liliane
effectivement, la douceur sème l'espérance, bien dit Suzanne!