L’art est reflet
Que serions-nous sans art, je me souviens Florence,
Ce fut un coup de foudre, un paradis immense,
Source de création, brûlant dans chaque toile
Dans ce ciel merveilleux, ce grand voile d’étoiles
Sandro Botticelli, sa femme et le printemps,
Chef-d’œuvre intemporel, la beauté du vivant,
Le regard de son âme, jusqu’à son inconscient,
L’impression de l’amour, universellement
Que serions-nous sans art, le reflet de l’humain
Et tout ce qui l’anime, du passé à demain
Porte de l’inconscient, cadre de notre vie,
La fenêtre de l’âme, vue sur le paradis
Plus que les synagogues ou bien les cathédrales
Et aussi les mosquées, en lui est bien le Graal,
Cette clé espérée, dévoilant le mystère
De la vie de la mort, petite et éternelle
Que serions-nous sans art, de tous il est le moi
Et sa fragilité se trouble quelquefois,
Préservons le en nous de douceur, non de guerre,
Comme ces religions semant l’horreur sur terre
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