La beauté, qui ne laisse aucune âme insensible,
Incite à désirer l’imiter en créant,
Certes dans la mesure où ce serait possible.
Restent très limités les talents les plus grands.
Les phases de la vie, chacune profitable,
Préparent les humains à des habiletés.
Ils sont soumis aux lois, qui demeurent durables,
Progressent au mieux de leurs capacités.
La marche a précédé l’usage de la course
Or celle-ci demande effort et frénésie.
Conduisent les enfants auprès de la grande ourse,
Les comptines rimées, pleines de poésie.
Ils goûtent l’harmonie engendrés par des mots,
Et découvrent l’humour née de la fantaisie,
Engrangent des structures, en leur jeune cerveau,
Deviennent amateurs friands de poésie.
Mais ceux qui n’ont pas eu accès à cette joie,
Exposés par le sort à d’autres certitudes,
Ont certes été, souvent, privés de faire un choix.
Se sont accoutumés à d’autres habitudes.
30 septembre 2011
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