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journal de bord, samedi 16 avril 2011

Quelle surprise, quelle joie, hier soir, vers minuit, quand je suis rentré, de voir mon flat remis en ordre, nettoyé. Merci, Anya !

 

Ainsi donc, pour mon anniversaire, mardi prochain, mon intérieur sera dans les dispositions idéales pour accueillir les potes qui me rendront visite, chez moi, pour mes (encore futurs) ... 49 ans.

 

Quant à la fameuse feuille ... d'Electrabel, me réclamant, dans les douze jours, les 108 euros que je n'ai pas payés, et sur laquelle je ne tombais plus ...

 

J'arrang'rai le bazar autrement. La s'maine prochaine, de toute façon, je ne travaille pas. Je peux toujours passer lundi matin dans un bureau de poste, vérifier par a plus b que les 108 euros ont été versés. Je peux aussi, en fouillant mes tiroirs, trouver une autre feuille du même organisme, téléphoner et arranger de vive voix le bazar (le cas m'est arrivé quelquefois, et ça s'est toujours solutionné).

 

Quant à la soirée contes, dans le Centre Ville, où je me suis rendu, hier ... et où, comme d'habitude, je suis intervenu aussi (cette fois, avec mon piano pour un morceau) ...

 

J'ai beau, vu l'état de fatigue que je traîne depuis un mois, ne pas avoir été dans les dispositions idéales ...

 

De belles choses se sont passées.

 

De belles histoires se sont racontées.

 

Paulo se rend au marché. Il se fait arrêter. On remet en cause son permis de séjour. Il argumente. Rien à faire. Demain, il doit se présenter quelque part. Après avoir accusé le coup, il apprend que c'était un coup monté, que c'étaient des faux foliciers. Merci, Hafiz (Ahmed).

 

Un gars, très beau, n'arrive pas à être heureux. Ca se passe chez un roi. C'est son fils qui cause problème. Le roi consulte ses sujets. Rien à faire. Parmi tous les gens heureux susceptibles de rendre la joie au coeur ... au fils de la cour, le roi consulte des sujets qui portent une chemise et qui ont l'air contents. Mais ... y a toujours quelque chose qui manque à l'appel. Sur une route, arrive un gars très très heureux, qui aime sa campagne, qui aime sa vie ... Merci, Michelle. Merci, Patrick (pour ton accompagnement à la guitare sur le conte).

 

Les galipettes sont des biscuits. Thérèse (Guyot), dis-moi-z-en donc un peu plus.

 

Une Lison, chère à Brassens, est belle, belle, belle. Elle le sait, en plus. Sa mère, aussi, le sait ... pour sa fille. Lison doit épouser un vieux vieux célibataire. Ca ne lui convient pas (on l'aurait parié). Un "Robin", cher au coeur de Lison (hi hi hi), trouve bientôt une solution intermédiaire. Les seins, le nombril et ... le bas des jambes de Lison (ou presque) mettent à contribution le vieux célibataire endurci, soulagé (a priori) de finir ses jours, quand même pas tout seul. Merci, Hélène (Stevens).

 

Et la baleine qui tentait d'amadouer le vieux capitaine maniaque et ronchon ...

Et le "Mac Adam" qui se demandait quoi ...

Et la mer qui montait, qui tentait d'avoir son mot à dire, chez Léonce, là où on est onze, dans un Cap Gris Nez qui ne s'en laisse pas conter, surtout quand l'accordéon rejoignait une chanson de Raoul Van Godsvarvelde (et Jean-Claude Darnal) ...

Merci, Christian (Pierron).

 

Tiens, tiens ...

 

Malgré l'état de fatigue qui m'assailait violemment.

 

J'ai capté pas mal de choses, final'ment. Y a des conteurs que j'ai déjà croisés, vus, entendus, pas mal de fois et que j'ai suivis, avec joie, pour la première fois. A ret'nir dans mes annales.

 

Quand j'ai chanté ...

 

"Os'rais-je encore dire ton prénom ?

Toi que j'aime enfin pour de bon ..."

 

Eh bien, curieus'ment, j'étais dans mon morceau. J'éprouvais les frissons, liés au propos de ma chanson. J'en étais surpris. Comme quoi : tout se joue sur scène, au moment où on s'y trouve. Je m'adressais réell'ment à la personne qui m'a inspiré cette chanson. Je la voyais devant moi. Et certains regards, devant, à côté de moi, qui me suivaient, avec énormément de tendresse ...

 

Ma "GRAND'MESSE" a soul'vé des éclats de rire à pas mal d'endroits. Très très curieus'ment, comme à chaque fois que je la reprends, malgré les erreurs de frappe "inévitables", quand je touche les notes du piano que je ne manie pas encore très habil'ment et que je présente en public depuis peu de temps.

 

Soleil, soleil, ce matin.

 

Je dois me trouver à 12 heures 30 à l'arrêt "De Wand". Une voiture m'attend. Nouvel objectif : Brasserie des Rocs, Montignies-sur-Rocs, région de Quiévrain. Un après-midi chanson, mimes, et j'en passe. Y aura ... mon pote Philippe Mai (le clown qui habite sur une péniche), Freddy et Monique (avec Brassens, ou Cabrel, ou un morceau anglais), Proserpine (qui aura peaufiné son humour), et tout plein d'autres que j'oubl ie et que je vais rencontrer. Je ne sais pas encore ce que je chanterai quand mon tour viendra.

 

Soleil, soleil, pour les heures futures, décidons-le.

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