Gare de Namur.
Presque dix-sept heures.
Le café se digère. Sur une locomotive rouge miniature, exposée au milieu de la gare, entre un ascenceur, des panneaux horaires et des sièges sur lesquels s'asseyent des tas de voyageurs, des gosses s'amusent (le chef de la bande se met carrément debout).
Encore un peu moins d'une heure avant le train pour Bruxelles.
"Bpost" serait en grève à Liège.
Kim Clijsters triomphe toujours sur les courts de tennis.
Le vent souffle dehors. Faut être courageux pour s'attarder aux terrasses.
Yves Duteil participera aux Francofolies de Spa.
Un pigeon, dans la gare, atterrit volontiers.
Quand je rentre à la maison, je prends un bain.
Une dame essuie son pantalon. Une autre agite son parapluie en marchant.
En me baladant (un peu) dans les rues de Namur, je n'ai pas eu envie de sortir ma guitare.
Comme par hasard, ce s'ra juste cinq minutes avant le départ de mon train qu'une rencontre inoubliable surgira du fond des catacombes.
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