Final'ment, hier, en fin de matinée, le méd'cin-contrôle s'est quand même pointé chez moi, à mon troisième étage, avec sa p'tite mallette.
Je m'y étais préparé. Même si ce n'était pas ... avec la plus grande joie.
Le plus calmement du monde, je lui ai expliqué ma situation : difficulté de respirer, essoufflements, légers lanc'ments à la colonne vertébrale, souci de m'arrêter à temps en vue de recommencer dans de meilleures dispositions ...
Sans broncher, il a sorti son sthétoscope et m'a ... ausculté, sans parler beaucoup.
"Je ne sens aucun sifflement", a-t-il juste dit, à un moment donné.
Evidemment, j'étais au calme, au repos. Dommage qu'il ne soit pas tombé sur moi, à un autre moment ... un peu plus critique !
Ensuite ...
Il a sorti un papier (vert), intitulé "Rapport de contrôle", que j'ai du signer.
Résultat final : je reste en congé de maladie jusque vendredi. C'est quand même le principal.
J'ai ensuite téléphoné à un collègue et lui ai expliqué la situation.
Et j'ai appris encore un détail supplémentaire.
Un méd'cin-contrôle n'aurait, en réalité, pas le droit de toucher (ni d'ausculter, donc) un patient, sans son accord.
Commentaires