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journal de bord, dimanche 17 avril 2011

Ca va encore. Le lundi de Pâques, c'est pour la s'maine prochaine. Chouette : en dehors de mon 4/5ème (boulot), qui me gardera au chaud, chez moi (ou chez quelqu'un d'autre), jusqu'au dimanche suivant, y aura encore un jour de bonus.

 

Demain ...

 

A ne pas oublier ...

 

Une visite chez le pneumologue, en début d'après-midi.

Une émission, à Namur, dans une radio, le soir.

 

Pas trop de vent, dehors.

 

La chatte du voisin s'est arrangée (on la connaît) pour arpenter les pissenlits et les cailloux du jardin, attaquer les pantalons, s'étendre sans se gêner.

 

Un bourdon rôde. Merde : mon appareil photo est resté dans ma chambre.

 

Les chaises et la table, plantées au milieu du jardin, sont étroites. Ca va, j'arrive à flanquer mes jambes en biais.

Les oiseaux se font entendre.

 

Des branches traînent. Un de ces quatre, j'utilis'rai le broyeur. Aujourd'hui : relâche.

 

L'étroitesse des chaises, disais-je ...

 

Je pourrais, avec mes émotions du moment, en écrire tout un poème, toute une chanson, tout un roman ... digne du "Ego Tango'" de Caroline De Mulder, juste à mes côtés, sur la table.

 

L'étroitesse des chaises ...

 

Ca me cause volontiers problème lorsque je suis assis dans une salle où pas mal d'artistes passent, où d'autres gens s'étaient déjà installés avant moi et que, pour suivre "potablement" la suite des évén'ments, j'ai du m'arranger pour repérer les rares places disponibles (souvent : entre deux personnes).

 

Et là, encore ...

 

Je ne suis pas au bout de mes peines.

 

Le périmètre de la chaise est limité. Trouver ses aises, afin de suivre le spectacle, bonne chance ! Rapid'ment, les fesses s'irritent. Les dossiers des chaises sont durs et le corps risque de s'atrophier si on ne le remue pas un peu.

D'un autre côté, si on se relâche, on devient à la merci, dans le même public, d'une mémé mal embouchée, d'une étudiante râleuse qui vous dit "Monsieur, à cause de vous, je ne vois plus rien" ou "Monsieur, puis-je vous demander aimablement de ne plus bouger ? Vous coupez toute mon attention au spectacle", qui vous lance des regards significatifs ou qui vous donne de sérieux coups de pied dans la chaise ... pour que vous compreniez le message.

 

Hier, à Montignies-sur-Rocs, à l'occasion de la ... première scène ouverte, où je participais, parmi plein d'autres, en tant que chanteur, j'ai vécu, lorsque j'étais spectateur, à plusieurs moments, ces appréhensions, ces phobies devenues, par la force des choses, réalités. 

 

Quelques images prises sur le vif, aussi, lors de cet évén'ment ...

 

Une "Complainte du Phoque en Alaska" du groupe Beau Dommage, revisitée, jusque dans les accords de guitare et les impulsions vocales, par Monique et Freddy Sosson.

 

La Foire du Midi de Bruxelles s'est manifestée. Un souffle du Portugal l'a relayée. Des femmes "bien portantes" et "très belles" ont aussi parsemé mon coeur d'étoiles, d'images : il m'a suffi de penser à Nathalie M..., le première fille avec laquelle je suis sorti, quand j'avais dix-huit ans. La guitare et la sincérité d'Yves Marchal y étaient pour quelque chose.

 

Des enfants d'une école du cirque, dans le jardin, pour démarrer la série. Ils jonglaient et récitaient leurs tables de multiplication.

 

Un SDF sur un banc, que le froid n'a pas loupé. Un journal qui s'y est vagu'ment attardé dans un entrefilet.

Des vacances et des congés qui peuvent se prendre toute la semaine.

Oui, Philippe (Mai).

 

Un ukulélé, pour m'accompagner, quand ce fut mon tour. Merci encore, Philippe (Mai). Et un piano qui m'a été accordé, sur un plateau d'argent, pour ma "GRAND'MESSE" qui commence à prendre de l'ampleur en public. Merci, Anne.

 

Un homme qui parle, qui parle. A n'en plus finir. Devant une interlocutrice qui l'écoute, l'écoute ... et prend le parti, au bout du compte, de faire table rase des mots et de garder le reste.

Une expression, un leuitmotiv, de temps à autre : "Il aurait pu en être ainsi".

Merci, raconteuse, avec ta coupe au carré, pour ta belle lecture ... pas scolaire pour un sou.

Je fermais les yeux. J'écoutais ta voix et sa mélodie. J'entendais une petite fille.

 

Un cafard qui défile. Merci aux nanas du duo "Epicerie Fine". Je pourrais reprendre leur chanson à mon compte.

 

Un Sarrazin, venu tout droit du désert, revient avec un bras amputé et un moignon. Georges Chelon, le chanteur, avait déjà donné le ton. Une chasse aux papillons, digne de Brassens (on s'en doute), s'organise aussi, à un moment donné. Proserpine et Sylvain, je vous aime.

 

La porte coulissante, à l'entrée du lieu, a bloqué à un moment donné.

 

Paraît que la festivité n'aurait lieu ... qu'une fois par an. C'est déjà çà. Même si, comme d'autres, je m'attendais à une seconde édition dans peu de temps.

 

Tiens ! Une bière, dans l'coin, s'appelle ... Altitude.

 

Et la région est belle.

 

Et la région est belle ... surtout quand on apprend que les Templiers s'y sont attardés, y a une paire de siècles, et qu'on pourrait établir des preuves que Nostradamus n'est pas l'auteur des ouvrages qu'on lui (re)connaît.

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