Près du fleuve majestueux,
Reflètant un ciel toujours bleu
Où flottent des nuages blancs.
Je me souviens de l'océan.
L'envie me prend de voir la mer;
À l'infini des bleus, des verts,
Le goût du sel au parfum d'algues,
Les caresses glacées des vagues.
Sur le sable rugueux et chaud,
Les offrandes venues de l'eau.
Je suis très souvent en errance
Sur les plages de mon enfance.
L'envie me prend de voir la mer.
Nous attendions le rayon vert
En frissonnant sur le rivage.
Ô l'espérance du jeune âge!
10 août 2014
Commentaires
Merci, Suzanne, du partage de ce cliché évocateur et des élogieuses , magnifiques lignes qui l'accompagnent !
Il me tarde de revoir la mer ... de faire le plein des parfums iodés si particuliers de l'air marin ...
Cordialement, Nicole