Poussées en tous sens,
inclinées jusqu’au gazon,
les pivoines pleurent.
Du frêle pommier,
le zéphyr cueille les fruits
et les plante en terre.
Dans la rue déserte,
frémissant les grands érables,
projettent leur ombre.
Sur maintes autos,
le soleil agit railleur;
effets amusants.
Silence insipide
mais un courant d’énergie
qui tient en éveil.
Dimanche 3 juillet 2011
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