Gratter le souvenir de l’ongle de l’esprit.
Chercher dans un parfum la douceur d’un visage,
La trace d’un amour, la trace d’un message.
Que reste-t-il de moi quand j’ai tout désappris ?
Gratter le souvenir de l’ongle de l’esprit.
Chercher dans un parfum la douceur d’un visage,
La trace d’un amour, la trace d’un message.
Que reste-t-il de moi quand j’ai tout désappris ?
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Commentaires
Il reste le sourire qui soudainement fleurit
Quand un regard enfin sur la vie se dépose
il reste le bonheur d'avoir été compris
le plaisir infini d'avoir un jour dit : J'ose!