Ils volent si bas enfermés
trou blanc dans le silence
dédoublés dans le chemin perdu
le soleil dort
la mémoire tourne
poupée de soie au sourire éternel
juste des ombres faites de plumes
sanctuaire métallique trop près du monde
tournent sur elles-mêmes
puis le soir revient coucher les survivants
fêlure fine sous l’aile de l’oiseau
tu voudrais mettre de la musique
on ne sait pourquoi
alors tu coupes les roses fanées
sur un banc du jardin
B - 29-10-2011
Commentaires
merci
Un bel univers poétique avec le désir de peindre ou de saisir cet instant de paix
Merci pour l'image imaginée
Arlette
Tout en douceur, j'aime beaucoup.
Amitiées