Calme sous les platanes.
Dites-vous qu’en approchant de votre cœur,
soudain l’âme apparaît, s’élance, s’établit.
En voulant dessiner, à peine les ampoules allumées,
les crayons se mettent à chanter le nom de lieux sauvages,
de personnages secrets.
Ils croquent des portraits intimistes
au milieu de paysages et de coteaux anglais.
Rivières étonnantes. Arpèges de couleurs.
Les arbres et leurs racines.
Nous marchons sur les pas de ces croquis,
sur les chemins de nos esquisses.
Quelques jours sans les assauts tourmentés des torrents.
Julien Boulier le 03 avril 2018
poème déposé Sacem code oeuvre 3436555511
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