Dans l'espace qui nous sépare,
souvent, je flotte.
Je m'accroche à ce lien invisible.
L'espace qui nous sépare
n'est jamais vide.
Le manque se remplit de souvenirs.
Dans l'espace qui nous sépare,
il y a de la joie et des sourires.
Il y a des rêves lumineux.
Dans l'espace qui nous sépare,
mon coeur bat.
Mon corps respire.
Les étoiles brillent.
Dans l'espace qui nous sépare,
il y a l'espoir qu'il disparaisse
Commentaires
Merci à tous pour vos appréciations et vos commentaires.
Bon dimanche!
Antoinette
Si déjà pour les atomistes, le vide est la condition nécessaire au mouvement, qu'on se rassure "Rien ne naît de rien par miracle divin" (Lucrèce) et du mouvement l'harmonie et la beauté se réaliseront.
oui tu as raison le manque se remplit de souvenirs - j'apprécie beaucoup ce texte plein de bon sens ! bien amicalement - Marie-Josèphe