Statistiques google analytics du réseau arts et lettres: 8 403 746 pages vues depuis Le 10 octobre 2009

Des coups et blessures

 

 

  

 

Nul n’est à l’abri des coups et des blessures imprévisibles ou inévitables. Certes, il n’existe aucun recours quand le destin les a causés.

Le plus souvent on est blessé par une arme à feu ou un instrument capable de pénétrer et de déchirer la chair.

Une blessure plus ou moins profonde entraîne toujours une douleur que peuvent apaiser des remèdes.

On sait aussi que la douleur, à différents degrés, est souvent ressentie sans aucune déchirure physique. Il s’agit, dans ce cas, d’une blessure morale.

La diffamation qui prend pour cible un innocent, a sur lui l’effet d’une arme contondante. De même la calomnie, tel un coup de jarnac, qui a pour but de porter atteinte à la réputation et à l’honneur d’une personne.

Ce devrait être un devoir de se méfier de ceux qui profèrent des accusations non probantes et surtout d’éviter de propager de simples rumeurs.

Le responsable d’une médisance, causant une douleur morale, doit être dénoncé et châtié selon la gravité du mal qui en résulte.

Autrefois, le code de l’honneur était incontournable. On ne pouvait vivre dans la souffrance que cause l’humiliation.

Quand Don Diègue subit un douloureux affront et qu’il déclara à son fils:

« À l’honneur de tous deux, il porte un coup mortel » celui-ci eut à coeur de punir le coupblable.

Avoir à subir la douleur qu’engendre la calomnie et surtout la diffamation, sans avoir la possibilité de se

défendre, paraît une situation inacceptable.

La justice devrait être facilement accessible à tous ceux qui en souffrent.

22 septembre 2011

 

 

 

.

Envoyez-moi un e-mail lorsque des commentaires sont laissés –

Vous devez être membre de Arts et Lettres pour ajouter des commentaires !

Join Arts et Lettres

Sujets de blog par étiquettes

  • de (143)

Archives mensuelles