On ne remercie pas son impeccable corps
Qui, sans fléchissements, réalise l’accord
Entre le vouloir faire et le réalisable.
On trouve naturel de le savoir fiable.
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La machine charnelle, éventuellement,
A, pour certaines causes, un dysfonctionnement.
Qui engendre aussitôt douleur et impuissance.
On ne l’endure pas sans pleurs ou impatience.
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Quand tout se passe bien, le mal est réparable
La machine reprend son rôle incomparable.
Lors on peut occulter l’effroyable pensée
Qu’elle aurait pu rester infiniment faussée.
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Après dix jours odieux, écoeurants ou amers,
J’essaie de défier, non causé par la mer,
Un mal, qui persistant, me meurtrit et m’assomme.
Je demeure épuisée, sans énergie en somme.
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10 octobre 2010
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