...
Mes sourcils se froncent, annoncent l’effarement
Les tiens s’élèvent, signent le dédain évidemment
Je ne dis mot, conscient de ton arrogance
Tu en dis trop, subjugué par ton intelligence
Ma classe est celle que tu suggères inutile
Barbare, vilaine et un peu trop débile
Extra lucidité, QI hautement développés, orgueil
Tu me donnes, crachant ta verve d’un clin d’œil
Éduqué, te rend un exemplaire de la société
À ne pas mélanger d’un brouillon souillé
Évidence brûle que sans toi, le monde crève
Évidence flambe que sans moi, il se lève
Et vide, en ce sens que tu es seule sans blâmer
Surtout vide de consistance, par manque de lucidité
Ton omission du respect nourrit la haine
Tu te planques quand on crie dans la plaine
Ô misère ! L’inculte parle, pardonnez-lui d’émettre
Un vent, dans la direction du monde des lettres
Un poème libre, désordonné, mort de technique
Oui, moi faible, j’en vibre, passionné, sale tique
Désolé, chaos mal agencé, pas de proverbes
Calculés, tous sons éructés par un imberbe
Au niveau de maturité à hauteur d’herbes
Veuillez m’excusez, pas de maitrise du verbe
Oui, mes sourcils se froncent d’effarement
Quand les tiens marquent un flot de dédain
Croire que je me révolte, car je lève les mains
Vers le ciel pour prier jusque demain
Parce que j’ai de quoi raconter une histoire damnée
Tu penses que je veux juste gagner du blé
Qui es-tu pour juger, l’inconnu sans voix
Me condamner et me clouer sur la croix
Mon désir n’est pas d’être le roi du café-théâtre
Alors, ne me dis pas court chez le psychiatre
Un foulard du patro, vert et jaune serré au poing
Me sert de garo, pour calmer ce déluge de dédain
Je voulais juste raconter une histoire, je me souviens
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Éduqué, te rend un exemplaire de la société
À ne pas mélanger d’un brouillon souillé
Évidence brûle que sans toi, le monde crève
Évidence flambe que sans moi, il se lève
Et vide, en ce sens que tu es seule sans blâmer
Surtout vide de consistance, par manque de lucidité
Ton omission du respect nourrit la haine
Tu te planques quand on crie dans la plaine
Ô misère ! L’inculte parle, pardonnez-lui d’émettre
Un vent, dans la direction du monde des lettres
Un poème libre, désordonné, mort de technique
Oui, moi faible, j’en vibre, passionné, sale tique
Désolé, chaos mal agencé, pas de proverbes
Calculés, tous sons éructés par un imberbe
Au niveau de maturité à hauteur d’herbes
Veuillez m’excusez, pas de maitrise du verbe
Oui, mes sourcils se froncent d’effarement
Quand les tiens marquent un flot de dédain
Croire que je me révolte, car je lève les mains
Vers le ciel pour prier jusque demain
Parce que j’ai de quoi raconter une histoire damnée
Tu penses que je veux juste gagner du blé
Qui es-tu pour juger, l’inconnu sans voix
Me condamner et me clouer sur la croix
Mon désir n’est pas d’être le roi du café-théâtre
Alors, ne me dis pas court chez le psychiatre
Un foulard du patro, vert et jaune serré au poing
Me sert de garo, pour calmer ce déluge de dédain
Je voulais juste raconter une histoire, je me souviens
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Commentaires
C'est malheureusement courant. Nous rencontrons tous ces types de comportements, je voulais le dire à ma façon. Ces poèmes sont les premiers que j'ai écris, je ne sais même pas si techniquement parlant, ils sont considérés comme poèmes. Une première disons. L'essentiel était d'essayer de raconter autrement ce que je voyais. Je suis très touché par votre commentaire. Merci encore.