![]() Privée de l'extase enivrante, De l'indicible exaltation, Qui m'immobilisait, vibrante, Yeux rivés aux constellations. Je contemplais cet autre monde, D'harmonie et de poésie, De correspondances profondes, De transcendance de la vie. Chaque nuit renaissait l'ivresse, L'attirance de l'univers. Me prenant pour une déesse, Je récitais des chants en vers. Le destin qui donne et reprend, Pour moi, a éteint les étoiles. Il m'offre un ciel éblouissant, Y déploie de divines toiles. 28 avril 2006 |
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