L'éblouissant soleil qui charme et qui rassure,
M'apporte, en s'imposant, une tendre allégresse.
Le silence ambiant m'incite à la paresse,
N'ayant souci de rien ne pèse ni mesure.
Mes poèmes me semblent être petits ruisseaux,
Qui prennent la couleur du ciel, et du feuillage
Des arbres variés qui bordent leur rivage.
Leur cours demeure lent et tranquille leur eau.
La musicalité de mes aveux sincères
Plaît à des êtres seuls en quête de douceur.
Ils peuvent éprouver, parfois, des coups de coeur,
Ressentant la présence d'une muse qui erre.
Les artistes attentifs, constants chasseurs d'émois,
S'exposant fascinés à d'apeurants orages,
Contemplant la fureur d'éléments qui ravagent,
Restituent l'énergie, transcendée à leur choix.
4 février 2013
Commentaires
Depuis le premier jour, votre muse musicale m'a parlé droit au coeur
et je vous espère toujours ravie par la beauté du monde et les nobles valeurs
Que tout l'amour reçu et celui donné à foison aux enfants par bonheur
vous entoure et comble à toujours d'une riante indicible douceur.