j'ai si froid au-delà des bas-fonds de l'amer
il coule de l'eau noire à faire damner l'enfer
je tends ma joue carmin vers l'extrême candeur
plus rien ne vient cogner à la porte du coeur...
j'ai si froid au-delà des bas-fonds de l'amer
il coule de l'eau noire à faire damner l'enfer
je tends ma joue carmin vers l'extrême candeur
plus rien ne vient cogner à la porte du coeur...
Vous devez être membre de Arts et Lettres pour ajouter des commentaires !
Commentaires
Bonjour Annie, j'apprécie cette idée de l'eau noire à faire damner l'enfer. Beau poème, trop court : je suis restée sur ma faim. Amitiés, Claudine.
les temps de grande froidure
tombent sur nos têtes en fleurs
il se fait un grand murmure
dans les sentes de mon coeur