J’ai caressé mes joues,
jusque sous les cernes des yeux,
attendrie, j’ai souri.
Il n’y coulera plus de larmes
ou alors des larmes de joie,
quand le rire est devenu fou.
J’ai caressé mes joues,
attendrie, j’ai souri.
C’est au printemps que je rends grâce,
en hommage à la vie,
qui chaque année s’y renouvelle.
J’ai reçu le don d’innocence,
j’accueille la beauté,
dans un élan de joie.
Un autre printemps, gloria!
21/3/90
Commentaires
J'aime beaucoup, Suzanne !
Amitiés !
Liliane