Intimes, quelle dérision !
Je parle de mes pensées, évidemment !
Je n’ose les dévoiler mais en survolant vos paysages charnels, il y en a certains où je m’attarde un peu plus. Les plus dangereux pour beaucoup d’hommes, d’ailleurs, j’ai évité de les rêver et de les poser sur le papier. Imaginez, Madame, mon trouble, ne les connaissant qu’en pensée, seraient-ils, comme ceci, comme cela ou encore, ainsi ?
Je les imagine cependant des havres de joie, fait de tendresse, de sensualité, d’érotisme, d’amour.
D’amours différents, le maternel, accompagnant inévitablement la tendresse, le passionnel où s’ajoute, la sensualité, l’érotisme et encore, le…
Je ne vous connais pas assez pour en parler, vous, à plus de deux cents lieues, moi, ne vous approchant que par les ondes. J’aime quand même ce voyage virtuel que beaucoup suivent en direct sur le net et se demandent quelle sera la prochaine étape ?
Laissons-les rêver, pour une fois, inversons les rôles, moi rêveur inconditionnel, vous qui me semblez tout autant rêveuse, gardons cela secret…
Pas très longtemps, je suis trop impatient pour rêver la suite !
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