Il invite au voyage,
Il y a de fabuleux paysages,
Parcourir ces superbes plaines,
Où il n’y rien à craindre,
Parcourant ces collines
Personne, aucune triste mine,
En visitant cette forêt,
Je n’ai vu aucun freluquet,
Des vallées sont à franchir
Où il semble bon vivre,
Des endroits plus secrets,
Disons, même discrets,
J’y mettrai des barrières,
Des genres de frontières,
Je me réserve ce corps
Sans aucun remord !
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L'endormie sur la vague ; l'ensoleillée marine, diablement féminine ............