Aurais-je suffisamment de temps
pour vous écrire ces infinités de
couleurs qui respirent en moi
lorsque je pense trop fort à vous ?
Ces floraisons infinies dans ma tête
devenue un jardin ; ces mots par
la verdure de cet entre-deux donnés ;
ce lieu sacré, insoupçonné,
hélas trop souvent,
est l'océan du créateur,
d'une âme trop esseulée.
NINA
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