Pendant l'absence, le silence,
D'une personne qu'on chérit,
Se prolongeant, parfois meurtrit,
Altère attente et confiance.
Lors, un présent inattendu,
Emplit notre âme de tendresse,
Lui apporte de l'allégresse,
Fait retrouver l'espoir perdu.
Un cadeau, sous forme de lettre,
L'un des plus doux à recevoir,
Nous aide certes à concevoir
Qu'est souvent faux ce qui semble être.
On peut avoir été blessé,
Par l'oubli déduit du silence,
Alors qu'est demeuré intense,
Un amour semblant dépassé.
Tu égayas mon existence,
Mon tendre ami, tant généreux.
Tu ne fus jamais paresseux.
Tes lettres animent ta présence.
12 mars 2013
Commentaires
Les lettres qui animent l'absence aussi
Amicalement Josette