Violons, cuivres ou piano
Et le sanglot d'une guitare...
Là, dans la nuit me sens bizarre,
Recroquevillée sur des bobos?
La musique d'un cœur qui frissonne
Dans notes floues d'un désespoir...
Enfuie la crainte de trop de noir
Mais oui, peut être beau l'automne!
Ce goût ardent de plénitude
Cueillir un bouquet de pensées...
Si l'amour nous tient éveillée
Peut bien nier la solitude!
Fermer les yeux sur des instants
Et les engranger dans le cœur
Pour chasser sans doute les peurs
Garder des pépites de temps!
Violons, cuivres et piano.
Et le sanglot d'une guitare...
Cette nuit ce n'est pas le hasard
Si des yeux font le monde beau!
J.G.
Commentaires
Merci chers ami(es) d'A et L d'avoir tendu l'oreille à ma petite musique...
Très belle fin de semaine à vous en rêvant au printemps!
Amitiés
Jacqueline
Ce nocturne peuple nos jours d'une infinie langueur.
On entendrait presque chanter les instruments évoqués dans ce poème. Ah! l'intense nostalgie dans laquelle on se laisserait volontiers couler.
Mais tu as l'art de rebondir et de franchir les frontières trop floues. Grâce "au goût ardent de "plénitude".
Alain Rolland t'as gâtée : un superbe tableau en cours d'achèvement.
Bonne soirée et bisous. Rolande.
Adorable !! Merci de ton partage , Jacqueline ! Amitié, Nicole
Oui, il peut être beau l'automne ...
Belle perspective finalement!
Bravo Jacqueline!
Bonne fin de semaine.
Amitiés.
Adyne