L'an deux- mille- onze commence.
On ne sait pas ce qu’il sera.
Un peu ce que l’on en fera.
Pousse ou non ce qu’on ensemence.
Douze nous est familier.
Il ne trouble pas l’harmonie.
Onze défie la symétrie.
Nous manque une rose oubliée.
Mais on accueille l’espérance,
Elle est présente au rendez-vous
Et fait prononcer des voeux doux,
Devant influencer la chance.
Nous vivrons un jour à la fois,
Sans pouvoir éviter le pire,
Pas plus que l’oubli dans le rire,
Libres de faire certains choix.
4 janvier 2011
Je souhaite, à tous, d'heureux choix et de très agréables moments.
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