Tu es toujours
Plein de palais historiques
Sous des prisons pathétiques,
De place mystérieuses,
L’or des églises bienheureuses
Jusque carnaval sensuel
Imagine passions irréelles.
Tu étais Nymphe sur cette toile, elle est sur un autre mur, une autre cimaise mais tu l’aimais particulièrement alors, j’ai essayé de combler ce vide. Ai-je réussi ?
Totalement différente, pour le décor, pour le reste, tu es toujours ma polonaise, la plus belle nymphe à mes yeux.
Plein de canaux romantiques
Sous des passerelles nostalgiques,
De promenades merveilleuses
Jusque gondoliers éternels,
Imaginent Venise la belle.
Venise pâlit en te voyant, la belle, c’est d’abord toi !
Commentaires
Voilà qui en dit long pour un texte court.
Le papillon voudrait s'envoler mais il est retenu par de trop sombres liens.
Qui l'en délivrera ?