A toi qui chantais par grand vent
à cœur ouvert.
Dans ta chanson, on y rencontre
routes et déserts flamboyants,
steppes et pays lointains.
On peut même y voir au pied d’une colline
l’homme qui un jour avait planté cet arbre.
A la vue de tous, chaque jour,
Il vient observer comment il grandit,
comme s’il tenait parole.
Ainsi, il viendrait lui rendre visite
quotidiennement, jusqu’au prochain passage.
Julien Boulier le 31 janvier 2018
poème déposé Sacem : code oeuvre 3434248111
On peut lire ce poème en écoutant la musique du morceau "Time tu divagues enchanté" sur mon site internet http://www.julien-boulier.net/Time-tu-divagues-enchante.html
ou sur ma page soundcloud : https://soundcloud.com/julien-boulier/time-tu-divagues-enchante-by-julien-boulier
Commentaires
De lointains échos portés par Eole surgissent.