Ô Dieu pâle, j'aime ta magnificence à travers les frimas
où sous le regard d'une nuit froide, se déploie
telle une parasélène les traits d'un visage volatil.
Je sonde alors les voiles éphémères de vapeur
étendue dans les nuages, et mes sentiments chavirent
jusqu'à leur horizon dénudé et dense.
Sous les effets miroir de ce halo, germe
le monde auquel je rêve, et les armes
que sont mes mots, jouissent du lointain
s'alliant aux fragments de mes histoires intenses.
Ô mirage, fantôme des rives, sous la réfraction
de ta lumière dans les cristaux de glace,
flottent silencieusement les morceaux que je compose
et mon récit se joue de cette rencontre ufologique.
Sous le toit du ciel où se lèvent les lunes,
je drisse la toile du pays des songes
au suaire de cristal dans lequel dort mon idylle.
où sous le regard d'une nuit froide, se déploie
telle une parasélène les traits d'un visage volatil.
Je sonde alors les voiles éphémères de vapeur
étendue dans les nuages, et mes sentiments chavirent
jusqu'à leur horizon dénudé et dense.
Sous les effets miroir de ce halo, germe
le monde auquel je rêve, et les armes
que sont mes mots, jouissent du lointain
s'alliant aux fragments de mes histoires intenses.
Ô mirage, fantôme des rives, sous la réfraction
de ta lumière dans les cristaux de glace,
flottent silencieusement les morceaux que je compose
et mon récit se joue de cette rencontre ufologique.
Sous le toit du ciel où se lèvent les lunes,
je drisse la toile du pays des songes
au suaire de cristal dans lequel dort mon idylle.
Nom d'auteur Sonia Gallet
Ce texte figure dans le recueil © 2014.
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