Des amis tendres et des lecteurs,
Qui m’entouraient de sympathie,
Sans bruit, sont sortis de ma vie.
Nous partagions des coups de coeur.
Et de nombreux questionnements,
Des idées ou des certitudes.
Qui rompait notre solitude,
Un chaleureux rayonnement!
Ceux que, de loin, je fréquentais,
M’étaient devenus chers et proches.
Désormais, muets comme roches,
Ils ruinent ma fidélité.
Que penser de la providence,
Quand un doux cycle est achevé?
Fut-il réel ou bien rêvé?
Je ne crois plus aux évidences.
Oh! mon écureuil, mon copain!
Il avait disparu, aussi.
Lors, je m’étais fait du souci.
Il attend sa tranche de pain.
25 novembre 2011
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