Du vert, un ciel bleuté que le soleil égaye.
Un silence complet entoure les maisons.
Le temps s'est absenté sans besoin de raison.
Sur les orpins gorgés sont figées des abeilles.
Un silence complet entoure les maisons.
Des formes cotonneuses semblent rester pareilles.
Sur les orpins gorgés sont figées des abeilles,
L'air a pris la lourdeur de la riche saison.
Des formes cotonneuses semblent rester pareilles.
La lumière rayonne en l'espace à foison.
L'air a pris la lourdeur de la riche saison.
Le jardin en plein jour tranquillement sommeille.
La lumière rayonne en l'espace à foison,
Irradiant les feuilles et les roses vermeilles.
Le jardin en plein jour tranquillement sommeille
Nulle chanson ne passe au travers des cloisons.
15 juillet 2014
Commentaires
Le poème est aussi irradiant que cet été plein de caresses-promesses.
Un merveilleux pantoum . Bravo Suzanne.