N’ai pas le besoin de bouger;
La paresse à nouveau me tente.
La douceur du jour me contente.
Je ne serai pas dérangée.
Une immense fleur s’ensoleille.
Or, je ne me sens pas gâtée
Par cet autre don de beauté.
Ma sensibilité sommeille.
Le silence me satisfait;
Il permet cet instant de grâce.
Immobile, je me délasse,
Dans un confort quasi parfait.
J’accueille la sérénité,
Qui élimine les défis
Aussi l’envie de fruits confits.
Est tendre ma réalité.
10 octobre 2011
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