Sans toit, à mi-voix
Sur le sol, un corps presque inanimé.
Visage glacé, sans expression humaine.
La désinvolture, l’insuffisance, simplement survivre.
Un regard figé, mélancolie silencieuse.
Sur le sol, des piétons circulent allègrement.
L’indifférence totale, l’humain déshumanisé.
Peu de sagesse, l’incroyable réalité.
La recherche de comprendre un certain pourquoi.
Sur le sol, l’errance d’un esprit maladif.
Douleur, l’inaction, l’atrocité.
L’abandon, yeux clôturés, l’épilogue.
Sur le sol, vie anéantie à tout jamais.
André, épervier
Commentaires
Une vérité simple et cruelle...Plus rien ne nous touche parfois.
Très beau texte
Amicalement
Triste réalité Lilianne assurément.
L'itinérance est ainsi malheureusement
espérant que l'humain changera cette situation
si malheureuse.
amitiés,
André, épervier
Brrrr, triste réalité, bien exprimée, implacablement.
Liliane