Vous devez être membre de Arts et Lettres pour ajouter des commentaires !
Poème sur la mort, prière amérindienne magnifique, à lire si vous vous sentez mal suite à la perte d'un être cher.
Publié(e) par Dominique Prime le 15 juillet 2012 à 10:27
De l’art d’être malheureux dans « Capitale de la douleur »
Publié(e) par Robert Paul le 25 août 2012 à 11:30
Sujets de blog par étiquettes
- théâtre (443)
- musique (288)
- peinture (239)
- JGobert (233)
- classique (213)
- amour (206)
- comédie (195)
- poésie (192)
- art (192)
- de (143)
Archives mensuelles
2025
- février (13)
- janvier (13)
2024
- décembre (14)
- novembre (25)
- octobre (16)
- septembre (40)
- août (25)
- juillet (29)
- juin (13)
- mai (13)
- avril (17)
- mars (28)
- février (30)
- janvier (30)
2023
- décembre (17)
- novembre (3)
- octobre (22)
- septembre (24)
- août (23)
- juillet (6)
- juin (3)
- mai (6)
- avril (11)
- mars (28)
- février (22)
- janvier (38)
2022
- décembre (29)
- novembre (25)
- juillet (1)
- juin (4)
- mai (1)
- avril (2)
- mars (3)
- février (16)
- janvier (23)
2021
- décembre (37)
- novembre (35)
- octobre (23)
- septembre (31)
- août (24)
- juillet (32)
- juin (42)
- mai (53)
- avril (52)
- mars (51)
- février (25)
- janvier (50)
2020
- décembre (33)
- novembre (30)
- octobre (44)
- septembre (30)
- août (35)
- juillet (24)
- juin (41)
- mai (73)
- avril (64)
- mars (46)
- février (33)
- janvier (19)
2019
- décembre (25)
- novembre (39)
- octobre (46)
- septembre (41)
- août (20)
- juillet (19)
- juin (29)
- mai (33)
- avril (28)
- mars (37)
- février (34)
- janvier (33)
2018
- décembre (40)
- novembre (40)
- octobre (48)
- septembre (50)
- août (61)
- juillet (73)
- juin (71)
- mai (75)
- avril (93)
- mars (100)
- février (95)
- janvier (92)
2017
- décembre (70)
- novembre (94)
- octobre (109)
- septembre (92)
- août (88)
- juillet (89)
- juin (85)
- mai (80)
- avril (78)
- mars (102)
- février (91)
- janvier (91)
2016
- décembre (93)
- novembre (80)
- octobre (132)
- septembre (98)
- août (64)
- juillet (90)
- juin (97)
- mai (95)
- avril (112)
- mars (98)
- février (122)
- janvier (110)
2015
- décembre (105)
- novembre (98)
- octobre (108)
- septembre (100)
- août (76)
- juillet (106)
- juin (113)
- mai (106)
- avril (128)
- mars (119)
- février (127)
- janvier (139)
2014
- décembre (131)
- novembre (122)
- octobre (157)
- septembre (115)
- août (138)
- juillet (159)
- juin (128)
- mai (185)
- avril (164)
- mars (149)
- février (163)
- janvier (180)
2013
- décembre (229)
- novembre (184)
- octobre (164)
- septembre (139)
- août (128)
- juillet (118)
- juin (172)
- mai (179)
- avril (180)
- mars (205)
- février (168)
- janvier (153)
2012
- décembre (148)
- novembre (151)
- octobre (159)
- septembre (185)
- août (169)
- juillet (150)
- juin (213)
- mai (149)
- avril (197)
- mars (218)
- février (181)
- janvier (190)
2011
- décembre (182)
- novembre (196)
- octobre (174)
- septembre (181)
- août (177)
- juillet (184)
- juin (199)
- mai (235)
- avril (216)
- mars (235)
- février (161)
- janvier (203)
2010
- décembre (153)
- novembre (161)
- octobre (169)
- septembre (165)
- août (88)
- juillet (58)
- juin (60)
- mai (73)
- avril (75)
- mars (77)
- février (47)
- janvier (25)
2009
- décembre (23)
- novembre (31)
- octobre (32)
- septembre (1)
- juillet (13)
- juin (6)
Commentaires
Bonjour Carol,
Je rejoins Gil dans son commentaire et vous remercie du partage de vos lignes ! Cordialement, Nicole
Bonjour Carol
Charlie Chaplin est à mon sens l’un des plus grands humanistes du siècle dernier, et c’est plus encore une immense singularité d’un humanisme par la pensée espiègle et joyeuse. Je parle de son immense singularité tant le dernier siècle fut mondialement, massivement sinistre, tragique, barbare et innommable de massacres, et d’horreurs qui sont et resteront impossibles à expliquer. Deux films à savoir le dictateur et les temps modernes me font dire qu’il fut d’une grande lucidité sur son époque et que le rire était pour lui un art plus que sérieux, un art fortement marqué d’une philosophie de l’intelligence, de la générosité, un art du renversement du ridicule de son personnage, des situations dans lesquels il se trouve à toute idée de pouvoir quand ça ne fait aucun cas de la condition humaine, et de ce qu’elle est capable d’accepter.
Bonne journée. Amitiés. Gil