Très chère existence,
Si frêle humanité,
L’eau des sources et la force des éléments.
Nos visages s’élancent à peine perdue
Contre le temps.
Ton corps danse jusqu’à devenir l’été.
Sous l’apparence d’un tableau fragmenté,
Multiples miroirs et le décor apparaît.
La nuit et le jour,
Cent mille fois mis à distance,
Au cœur des forêts sombres et éclairées.
Julien Boulier,
A Brest, le 02 septembre 2018
poème déposé Sacem code oeuvre 3440969911
Commentaires