Ce grand glacier a été peint en 2008 et j'ai du plaisir à mettre ses couleurs véridiques. Maintenant, comment est-il? Avec le poème "Phénix blanc", je deviens songeuse et je me pose des tas de questions. Un jour, ma peinture partira, accrochée quelque part comme décoration. Les générations suivantes vont la regarder comme un lointain souvenir et les faire réfléchir pour le futur. La beauté se trouvait alors partout dans la Nature et cela demande réflexion...
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Poème sur la mort, prière amérindienne magnifique, à lire si vous vous sentez mal suite à la perte d'un être cher.
Publié(e) par Dominique Prime le 15 juillet 2012 à 10:27
De l’art d’être malheureux dans « Capitale de la douleur »
Publié(e) par Robert Paul le 25 août 2012 à 11:30
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Commentaires
Bonsoir Liliane , ton commentaire me redonne de l'espoir et la roue tourne et cela est bien vraie .Amitiés .Andrée
Je suis contente,Jacqueline de ton raisonnement .J'espère de tout mon coeur qu'une partie du grand glacier restera encore pour un petit temps Amicalement Andrée
Les hommes commencent enfin à réfléchir aux destructions qu'ils ont engendrées, cela prend beaucoup de temps pour prendre conscience qu'il faut changer beaucoup de comportements, faisons au mieux dans notre quotidien pour éduquer les générations qui nous suivent afin qu'ils comprennent qu'un bon avenir dépend des générations antérieures, votre grand glacier sera certainement transformé mais il sera toujours là. Jacqueline
Je ne suis pas pessimiste quant à moi, Andrée.
La Terre est en permanente évolution, les époques se succèdent avec plus ou moins de bonheur, insensibles aux nostalgies du passé.
La jeunesse est l'avenir, de tout temps le conflit des générations a divisé, irrité, fait évoluer la société, qui n'est ni plus ni moins mauvaise qu'autrefois. elle est différente, c'est tout.
Il en va de même pour notre Terre. En permanente mutation, elle tourne toujours.
Il y aura toujours la Nature, elle sera différente, et des animaux, ils s'adaptent à tout.
Nous, les humains, développerons d'autres systèmes, la roue tourne, mais chaque geste compte.
Liliane