Crayon ouvrit la porte.
Entrèrent langoureusement,
la paresse, et l’ennui
le rire ricanant,
...
la pensée enlaçant l’ivresse,
l’erreur grosse à éclater,
puis, l’élégante nostalgie,
...
le beau, qui semblait un peu gris,
l’amour vulgaire et provoquant.
Peu après, entra le mépris.
...
La colère poussa la porte,
tapa des poings sur ses flancs ronds,
bava des paroles étranges.
...
Quand certains hôtes s’assoupirent,
le rêve, également présent,
les mena ailleurs, loin du bruit.
...
Le beau devint époustouflant.
l’amour vulgaire changea d’aspect
pour paraître mélancolique.
...
Dans une atmosphère onirique,
la colère s’évanouit.
le mépris, devint inaudible.
...
Troublés, émergeant du sommeil,
Ils eurent l’envie de sortir.
Ils voyaient, par la porte ouverte,
La nuit offrant sa poésie.
...
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